Récapitulatif de tous les navires en 1ère page (par ordre alphabétique)


8è partie





Michel N°13 - Michel N°14 - Michel N°15 - Michel N°16 - Michel N°17 - Michel N°18 - Michel N°19 - Michel N°20 - Michel N°21

Michel N°7 - Michel N°8 - Michel N°9 - Michel N°10 - Michel N°11 - Michel N°12 - Michel N°13 - Michel N°14 - Michel N°15

Michel N°16 - Michel N°19

Michel N°17

10è partie




Michel N°7 - Michel N°8 - Michel N°9 - Michel N°10 - Michel N°11 - Michel N°12 - Michel N°13 - Michel N°14 - Michel N°15

Michel N°16 - Michel N°17

Occupation anglaise


Michel N°1 - Michel N°4 - Michel N°5 - Michel N°8 - Michel N°9

11è partie





Michel N°13 - Michel N°14 - Michel N°16 - Michel N°17 - Michel N°19 - Michel N°20 - Michel N°21

Michel N°24

Michel N°31 - Michel N°32 - Michel N°34

12è Partie




Michel N°7 - Michel N°8 - Michel N°9 - Michel N°10 - Michel N°11 - Michel N°12 - Michel N°13 - Michel N°14 - Michel N°15


Michel N°16 - Michel N°17 - Michel N°18

Michel N°20 - Michel N°21 - Michel N°22

Michel N°23


Occupation anglo-française

Michel N°2

Michel N°1 - Michel N°4 - Michel N°5

Wilhelm Gustloff est un navire de croisière prestigieux de grandes dimensions lancé à Hambourg par la marine allemande le 5 mai 1937, qui porte le nom d'un responsable national-socialiste assassiné l'année précédente. Transportant plus d'un millier de soldats et d'officiers allemands ainsi que plusieurs milliers de réfugiés de Prusse-Orientale fuyant la progression de l'Armée rouge, il est torpillé par un sous-marin de la marine soviétique le 30 janvier 1945. Selon des études récentes (Heinz Schön), son naufrage provoqua la mort d'au moins 5 300 personnes, une source allemande annonçant quant à elle le chiffre d'environ 9 343 personnes, ce qui en ferait la plus grande catastrophe maritime de tous les temps.
Wilhelm Gustloff était un activiste virulent du parti NSDAP en Suisse (Landesgruppenleiter), à l'antisémitisme exacerbé. Né le 30 janvier 1895 à Schwerin (dans le Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale), il fut assassiné à Davos le 4 février 1936 par David Frankfurter, étudiant juif qui rêvait par ce geste de « réveiller son peuple ».

Adolf Hitler décide de baptiser de son nom un paquebot en cours de finition dans les chantiers navals de Hambourg. Le lancement du navire a lieu en présence d'Hitler et d' Hedwig Gustloff, veuve de Gustloff.

Lancé le 5 mai 1937, le Wilhelm Gustloff est un paquebot prestigieux de la Kraft durch Freude (la force par la joie), organisation de loisirs créée par le dirigeant national-socialiste Robert Ley afin de concilier la classe ouvrière au régime.

Le navire fait 208 mètres sur 24, il a un tonnage de 26 000 tonnes et est conçu pour transporter un total de 1 865 personnes. Étant utilisé par la Kraft durch Freude, il ne comporte pas de classe de luxe, ce qui est un fait rare pour l'armement des navires de croisière de l'époque.

Le Wilhelm Gustloff sert à de nombreuses croisières à la fin des années 1930. Il est réquisitionné le 22 septembre 1939 pour être transformé en navire-hôpital de la marine de guerre. Lors de la campagne de Norvège au printemps 1940, il est utilisé pour rapatrier les blessés. Le 20 novembre 1940, l'ancien paquebot est mis à quai au port de Gotenhafen, dans le district de Dantzig-Prusse-Occidentale (aujourd'hui Gdynia, en Pologne), afin d'y servir de caserne flottante pour la seconde division-école de sous-mariniers.


Début 1945, la progression des troupes soviétiques et la défaite de l'Allemagne semblent inéluctables. La Prusse-Orientale accueille de nombreux civils et militaires fuyant l'offensive de l'Armée rouge.

C'est alors qu'a lieu l'opération Hannibal employant quatre grands navires de transport pour évacuer la population. Plusieurs milliers d'entre eux prennent place à bord du Wilhelm Gustloff qui lève l'ancre au matin du 30 janvier 1945, dans l'espoir de rejoindre les ports de Flensburg et de Kiel, encore libres de toute occupation. Une liste officielle dresse le nombre de 7 956 personnes à bord, comprenant membres d'équipage, soldats et réfugiés civils. Dans les faits, ce nombre est très supérieur. Il dépasse les 8 000 personnes et de récentes recherches (Heinz Schön) avancent le chiffre de 10 050 personnes. L'unique certitude est que plus de 4 000 enfants et adolescents s'y trouvaient alors..

Cependant, la mer Baltique est alors peu sûre, car de nombreux sous-marins de la marine soviétique y patrouillent afin de couler tout navire allemand qu'ils pourraient croiser. Dès le début du voyage du Wilhelm Gustloff, trois sous-marins sont signalés, mais ils sont jugés sans danger pour le paquebot.

Au soir du 30 janvier, le Wilhelm Gustloff, escorté d'une seule vedette lance-torpille, reçoit un message d'une formation de dragueurs en approche lui demandant de naviguer avec les feux de position allumés pour éviter tout risque de collision entre les navires, ce que le capitaine Petersen exécute immédiatement. Mais un quatrième sous-marin se trouvait alors en patrouille à proximité, le long de la côte basse de Poméranie orientale : le S13.

Alexandre Marinesko, le capitaine du sous-marin, fait armer quatre torpilles, dénommées « pour la mère-patrie », « pour le peuple soviétique », « pour Léningrad » et « pour Staline ». La dernière fait long feu et doit être retirée du tube puis désamorcée en catastrophe, tandis que les trois premières touchent le paquebot qui coule en moins de 50 minutes.

Les torpilles vont exploser contre les flancs bâbord du grand paquebot allemand. La première pulvérise le compartiment de l'équipage à l'avant. La seconde détonne juste en dessous de la piscine où des dizaines d'auxiliaires féminines de l'armée ont trouvé refuge. La troisième explose dans la salle des machines, plongeant instantanément le bâtiment dans le noir.

Pendant ce laps de temps, une grande panique règne à bord du navire bondé, où les canots de sauvetage sont en sous-nombre et assaillis. L'un des rescapés, le mécanicien Johann Smrczek, fera le récit des événements. Ayant rejoint le pont supérieur aménagé pour les blessés du front oriental, il y a « pris conscience du drame qui se déroulait en bas. À travers les vitres blindées, je ne pouvais les entendre crier. Mais les gens étaient serrés comme des sardines et le pont inférieur était déjà à moitié couvert d'eau. Et j'ai vu des éclairs, des coups de feu. Les officiers tuaient leur propre famille. »

Seuls 996 rescapés sont secourus par des navires accourus à la rescousse et groupés autour du croiseur lourd Admiral Hipper, laissant derrière eux plusieurs milliers de victimes.


N°597

Tannenberg

construit par Oderwerke à Stettin en 1935 et exploité par la ligne Hamburg-Amerika, principalement dans la mer Baltique. C'était un bateau à vapeur à double vis de 5.504 tonnes avec une vitesse maximale de 20 noeuds et d'hébergement pour 2.000 passagers. En Juillet 1941, alors qu'il réliait la Finlande à l'Allemagne en convoi avec deux autres navires il a sauté dans un champ de mines et a été perdu à proximité de l'île de Oland.

N°599

Le traversier-rail Schwerin a été construit en 1926 par F. Schichau, Elbing. Le Schwerin a été construit pour prendre deux trains et plus de 100 passagers, et est sur ​​le service WarnemundeGedser, ce qui permet aux trains de rouler direct de Berlin à Copenhague.

Construit comme un traversier-rail en vertu de la cour n ° 1170 par Schichau Werft, Elbing, l'Allemagne pour la Deutsche Reichsbahn (chemins de fer d'État allemand).
15 avril 1926 a lancé le SCHWERIN.
Tonnage 3.133 tonneaux de jauge brute, nette 1,107, 800 tpl., dim. 106,8 x 16,53 x 4,4 m.
Alimenté par deux 6-cyl. machines à vapeur triple expansion fabriqué par le constructeur, 4400 ch., arbres jumeaux, la vitesse de 15,5 noeuds.
Hébergement pour les 800 passagers et deux trains d'une longueur de rail de 161 mètres.
01 Décembre 1926 utilisé dans le service de Warnemünde de Gedser.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale pour une courte période transféré à la Marine allemande comme mouilleur de mines et le transport de troupes
9 avril 1940, il a transporté des troupes allemandes au Danemark.
25 avril 1940 il est retourné au service de traversier.
22 Février 1944 aux côtés de Neptun Werft à Rostock pour des réparations de la chaudière, et a été gravement endommagé par un bombardement de la RAF et a coulé.
20 avril 1944 récupéré par Bugsier und Bergungs AG, Hambourg, remorqué à Warnemünde et mis en place.
1945 vendu à la Russie, mais pas de service nouveau.
10 Septembre 1948 Vendu à Werner Hinrichs, Waremünde pour la démolition.
15 Septembre 1950 sa démolition a commencé.
Sources: http://www.miramarshipindex.org.nz . Navicula

N°600

Hambourg paquebot allemand appartenant à la Hamburg America Line , construit par les chantiers navals Blohm & Voss de Hambourg , en Allemagne et lancé en 1926.

Le 7 Mars 1945, lors de l'évacuation des forces de la front de l'Est , il a heurté une mine et a coulé. Il a ensuite été récupéré par les Soviétiques en 1950. Il était destiné à devenir un navire à passagers, les Dolgorouki Yuri il a été terminé en 1960 en tant que navire-mère pour la chasse à la baleine, il a ensuite été démoli en 1977.
Type: Paquebot
Tonnage: 21.132 tonneaux de jauge brute (TJB)
Longueur: 635 pi (194 m)
Largeur: 72 pi (22 m)
Propulsion: Turbines à vapeur, deux hélices
Vitesse: 15,5 nœuds (28,7 kilomètres par heure ; 17,8 mph )
Capacité d'accueil: 222 passagers de première classe , 471 de seconde classe , 456 de troisième classe

N°601

WILLEM BARENDSZ (II),
Construit comme un navire-usine dans la chasse à la baleine par la cour de Dok en Werfmaatschappij Wilton NV Fijenoord à Schiedam, Pays-Bas pour la Nederlandsche Maatschappij voor de Walvischvaart à Amsterdam.

Novembre 1953 contrat a été signé à sa construction.
2 novembre 1953 la quille a été posée par M. GFWarnderink.
20 novembre 1954 est lancé sous le nom WILLEM BARENDSZ (II), nommé d'après l'explorateur néerlandais Willem Barendsz , il a été baptisé par l'épouse du ministre néerlandais de la pêche, Mme Mansholt.
Tonnage brut 26,830, 15,900 net, 26.570 tpl., Dim. 677 x 90 x 67ft.
Alimenté par deux 6 cyl. WF / moteurs diesel MAN, chaque hp 5,250.
Essais de vitesse 15,5 nœuds, vitesse commerciale de 14 noeuds.
L'installation en usine sont 8 chaudières écossaises et 19 chaudières de cuisson pour extraire l'huile.
L'équipage d'environ 500.
À cette époque, il était le plus grand navire-usine du monde, et le plus grand navire marchand hollandais.

La pêche à la baleine a diminué beaucoup et l'entreprise a décidé de se retirer de la chasse à la baleine, le Barendsz Willem avec son quota de baleines de la saison 1964/65 a été vendu à une compagnie baleinière japonaise.
17 Juillet 1965 livré, et le même jour, son quota de baleines racheté par la Nederlandsche Maatschappij voor de Walvisvaart.

27 octobre 1965 transféré à la Willem Barendsz (Pyt) Ltd, une société sud-africaine.Il a été utilisé pendant quelques années en tant que navire-usine de poissons sur la côte ouest d'Afrique du Sud avec les agents de la plupart néerlandais et originaire de l'équipage d'Afrique du Sud.

1973 Vendu à coréenne Pêches Wonyang Cy.Ltd. 5.750.000 $ pour les USA, rebaptisé en YU SHIN (réformateur).
Remis à neuf à Pusan, et après l'achèvement utilisé dans les eaux autour de l'Alaska.
Rebaptisé 1987 par les propriétaires dans GAME CHEOG (pionnier).

Désarmé 1983 près de Koji Island, en Corée.
Après sa remise en état, il a été rebaptisé en OCEAN PIONEER, et a navigué sur le 18 octobre 1986 à partir de Okpo pour les eaux autour de néerlandais Harbour, l'île des Aléoutiennes.

Rebaptisé 1996 par les propriétaires dans GAME CHEOG.
2001 Vendu à un démolisseurs chinois et est arrivé 01 Juin 2001 à Xinhui.
Source: Blauwe Wimpel. Some Dutch books lost the titels. Marine News 2002/114


N°668

Curaçao
Construit comme un chalutier avec le numéro 485 par la "Dageraad De« cour à Woubrugge, Pays-Bas pour la pêche société Medan-Batavia à IJmuiden, Pays-Bas.
Lancé le 12 mai 1956 sous le nom de CURAÇAO.
Tonnage, 262 brut, 131 net, dim. 40 x 7 x 3,8 m. (Projet)
Alimenté par un cyl 8. diesel, 600 ch., la vitesse de 10 noeuds.
20 Juillet 1956 remis aux propriétaires.

Utilisé pour la pêche au hareng en mer du Nord.
1959 Vendu à Soc. De Peche. Congélation à St Pierre & Miquelon, et rebaptisé SAVOYARD II.
Lorsque l'usine de poissons de St Pierre fut modernisée, elle a acheté des chalutiers modernes en Hollande, un de ces chalutiers a été le Savoyard.

Mai 1959, il a navigué sur les Grands Bancs.

Quelle est la certitude, cependant, c'est que quelques instants après avoir quitté le quai (dans un épais brouillard) le Savoyard s'est fracassé sur le Rocher Petit-Saint-Pierre. Quelques membres d'équipage ont été blessés par les fortes secousses et le chalutier a commencé à couler par l'arrière. L'équipage a réussi à abandonner le navire en toute sécurité.


N°669

Nieuw Amsterdam était un paquebot Hollandais construit à Rotterdam pour la Holland America Line. Nieuw Amsterdam, est le deuxième des quatre navires de Holland America avec ce nom, est considéré par beaucoup comme le plus beau des navires de Holland America.

Tonnage: 36.287 tonneaux de jauge brute (36 667 tonnes après 1947 carénage)
: Longueur: 758 pieds (231,5 m)
Largeur: 88 pieds (26,9 m)
Puissance installée: réduction unique visant turbines; 34.000 shp
Propulsion: vis Twin
Vitesse: 20,5 nœuds (38,0 km / h)
Capacité d'accueil: 1220: 556 Première classe, 455 deuxième classe, 209 troisième classe


Le navire est parti à la casse en 1974.


N°670 - N°? - N°430

Zeven Provinciën était un vaisseau de ligne néerlandais du XVIIe siècle, armé de 80 canons.

Modèle-réduit (échelle 1:87) du Zeven Provinciën, construit par Herbert Tomesen pour les chantiers du Bataviawerf aux Pays-Bas.
Il tire son nom des « Sept Provinces », la république néerlandaise étant une confédération de provinces autonomes.

Le vaisseau original a été construit en 1664-1665 pour l'amirauté de la Maas (Meuse) à Rotterdam, par l'architecte Salomon Jansz van den Tempel. Il était armé à l'origine avec :
12 canons de 36 livres et 16 canons de 24 livres dans la première batterie ;
14 canons de 18 livres et 12 canons de 12 livres dans la seconde batterie ;
26 canons de 6 livres sur les gaillards.

Le vaisseau était sous les ordres du lieutenant-amiral Michiel de Ruyter pendant la deuxième guerre avec l'Angleterre (1665-1667), notamment lors de la bataille des Quatre Jours, celle de North Foreland (1666) et lors du raid sur la Medway (1667).

Ruyter l'a utilisé de nouveau pendant la troisième guerre contre l'Angleterre (1672-1673) ; le vaisseau a servi dans les batailles contre les flottes anglaise et française : Solebay (1672), Schooneveld et Texel (1673).

Durant la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1688-1697), réarmé avec 76 canons (uniquement des 36 livres en première batterie), il participe à la bataille de Barfleur (1692). Endommagé lors de cette dernière bataille, il est finalement démoli en 1694.

Une première tentative a débuté en 1995 dans les chantiers Bataviawerf à Lelystad. De nos jours, pour construire un bateau d'un certain tonnage, l'assemblage se fait toujours par couple. L'architecte a voulu faire revivre un technique n'ayant plus été utilisée depuis des siècles, construire par niveau et non par couple ; le résultat fut catastrophique, plus de dix ans d'efforts et de contributions furent perdus.

En 2008 débute la construction d'une nouvelle réplique.


N°978 - N°672

W A. Scholten a été construit pour la ligne Høiland-Amérique en 1874 par Napier, de Glasgow, et a été nommé d'après l'un des principaux actionnaires et administrateur de la société. Jauge brute du navire est de 2.500 tonnes, longueur 351ft. 38ft faisceau. Il avait trois mâts. À coque en fer, il avait une seule vis propulsée par deux moteurs composé donnant une vitesse de 10 noeuds. Il était sur le service de Rotterdam-New York de 1874 à 1887. Le 19 Novembre 1887, il a coulé dans une collision avec la Sainte Rosa dans la Manche, avec la perte de 132 passagers.


19 Novembre 1887 :
22.30: WA SCHOLTEN est entré en collision avec le Britanniques ROSA MARY de West Hartlepool le navire a été touché sur le côté bâbord au centre du navire, le SCHOLTEN WA a un trou d'environ 8 pieds sur son flanc bâbord. La panique a éclaté chez les passagers à bord et les officiers et l'équipage n'ont pas pu rétablir l'ordre.
Seuls deux canots de sauvetage en raison de la forte gîte ont été lancés et se sont dégagés du navire, de nombreuses personnes ont sauté par dessus bord, mais même s'il y avait des gilets de sauvetage et bouées de sauvetage assez nombreuses à bord , ils n'ont pas pu les utiliser et la plupart se sont noyés.
Environ 20 minutes après la collision, le SCHOLTEN WA a coulé par l'avant, seulement 78 personnes ont été secourues principalement par l'Ebre.
Source: Scheepvaart a Dutch newspaper

N°979