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Forum Québec • Voir le sujet - FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Jeu Nov 04, 2010 3:01 am 
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L'Autour des palombes (Accipiter gentilis) est une espèce de rapaces de taille moyenne de la famille des accipitridés, qui comprend aussi les aigles et les busards. C'est une espèce proche de l'épervier d'Europe.

Il porte de nombreux autres noms vernaculaires où il est selon les cas qualifié d'autour, épervier ou encore d'émouchet. Entre autres : épervier autour, autour commun, gros épervier, émouchet des pigeons, épervier bleu, aigle chasseur, gros ratier
L'Autour des palombes est le plus grand des oiseaux du genre Accipiter. C'est un rapace qui possède de courtes et larges ailes et une longue queue bien adaptées au vol en forêt, habitat où il vit et fait son nid.

Le mâle est bleu-gris sur le dessus et strié de gris sur le dessous. Il mesure entre 49 et 57 cm et possède une envergure allant de 93 à 105 cm.

La femelle est plus grande, elle mesure entre 58 et 64 cm avec une envergure entre 108 et 127 cm. Elle est bleue ardoise au-dessus et grise en dessous. Les mâles les plus petits pèse environ 630 grammes tandis que les femelles les plus grandes peuvent peser jusqu'à 2 kg. Les jeunes sont bruns au-dessus et striés de brun par dessous. Le vol est caractéristique « cinq lents battements d'ailes-puis il plane ».

En Eurasie, le mâle est parfois confondu avec la femelle de l'épervier d'Europe, mais il est plus large, plus épais et possède de plus longues ailes que celui-ci. En Amérique du Nord, les jeunes sont parfois confondu avec l'épervier brun ou avec l'épervier de Cooper, mais la taille permet à nouveau de les différencier.


N°1770 (1999)
L'Autour des palombes niche dans l'extrême nord du Maroc, dans presque toute l'Europe (à l'exception notable de l'Islande), en Turquie, dans le nord et le centre de l'Asie ainsi que dans le nord de l'Amérique du Nord.

Une fraction des populations est sédentaire tandis qu'une autre, surtout composée de jeunes, est migratrice.

Cet oiseau peuple les forêts et les grands bois notamment de conifères avec de grandes clairières et des milieux ouverts voisins, biotopes dans lesquels il chasse préférentiellement. Son activité s'étend aux champs et prairies bordés de haies, aux marais et aux étangs aux berges boisées. Par contre, il évite les grands espaces découverts.

Dans certains pays, l'Autour des palombes s'est adapté au milieu urbain : Russie (en hiver près de Moscou dès la fin de la première moitié du 20ème siècle), Pays-Bas (Amsterdam), Lettonie (Riga) et Allemagne (Cologne).







Le Carouge à épaulettes (Agelaius phoeniceus) est une espèce de passereau appartenant à la famille des Icteridae.

Le carouge à épaulettes a un dimorphisme sexuel, le mâle est tout noir (y compris le bec et les pattes) avec des épaulettes d'un rouge vif souligné de jaune pâle. On ne voit pas toujours ses épaulettes rouges lorsqu'il est perché, et alors seule la fine bordure jaune dépasse. La femelle est brun foncé quelconque.

Les graines et les insectes constituent l'essentiel de son alimentation.


N°1771 (1999)
On le trouve dans la plus grande partie de l'Amérique du Nord et de l'Amérique Centrale. Il niche de l'Alaska et de Terre-Neuve au sud de la Floride, au golfe du Mexique, au Mexique et au Guatemala, avec des populations isolées dans l'ouest du Salvador, au nord-ouest du Honduras et du Costa Rica. Il peut hiverner au nord jusqu'en Pennsylvanie et en Colombie-Britannique, mais les populations nordiques sont généralement migratrices, se déplaçant vers le Mexique et le sud des États-Unis.






Le Chardonneret jaune (Carduelis tristis), appelé aussi « canari sauvage », est une espèce présente en Amérique du Nord ainsi qu'aux Bahamas et dans les îles Turques et Caïques. Il appartient à la famille des pinsons. Oiseau migrateur, on le trouve du sud du Canada à la Caroline du Nord pendant la saison de reproduction et de la frontière canadienne au Mexique pendant l'hiver. Il a pour caractéristique de muer complètement et un dimorphisme sexuel : le mâle arbore un plumage jaune vif pendant l'été et vert olive pendant l'hiver, alors que la femelle a une couleur jaune brunâtre terne qui devient plus éclatant en été. Les plumes du mâle deviennent plus colorées pendant la saison des amours afin d'attirer les femelles.

Le Chardonneret jaune est granivore et adapté à la consommation de graines grâce à un bec de forme conique et à des pattes agiles qui lui permettent de saisir les tiges dont il a besoin pour s'alimenter. Il s'agit d'un oiseau social qui se déplace en groupe lorsqu'il migre et se nourrit. Il défend un territoire pendant qu'il construit son nid. Il se reproduit à partir de la fin du mois de juillet, ce qui est relativement tard pour un pinson. Il est généralement monogame et a une seule nichée chaque année.

Le Chardonneret jaune vit au contact de l'homme, dans les banlieues des villes, attirés par la nourriture mise à sa disposition qui accroît le taux de survie de l'animal. La déforestation laisse des prairies ouvertes qui constitue l'habitat privilégié de l'oiseau.


N°1772 (1999)
Le Chardonneret jaune est un petit pinson de 11 à 13 cm de longueur et d'une envergure de 19 à 22 cm. Il pèse entre 11 et 20 grammes. Son bec est petit, conique et rose la plus grande partie de l'année, mais il devient orange avec la mue du printemps pour les deux sexes. La forme et la taille du bec correspondent à sa capacité d'extraire les graines des chardons, des tournesols et d'autres plantes qui composent son régime alimentaire.

Le Chardonneret jaune connaît deux phases de mue, l'une au printemps, l'autre en automne. Le dimorphisme sexuel qui affecte la couleur du plumage est particulièrement visible après la mur du printemps, lorsque le mâle se couvre de plumes aux couleurs vives pour attirer les femelles. Il s'agit du seul pinson qui mue complètement, les autres oiseaux changeant la couleur de leurs plumes de façon progressive par la chute de celles-ci. Il perd toutes ses plumes à chaque mue sauf celles des ailes et de la queue qui ont une couleur vert olive pour les femelles et noire pour les mâles. Les marques de ces endroits restent identiques avec de larges bandes blanches sur les ailes et des plumes blanches sur les bords de la courte queue.







La Grue du Canada (Grus canadensis) est un grand échassier de la famille des gruidae.
Les adultes sont presque entièrement gris; en période de reproduction, le plumage est généralement beaucoup taché, en particulier dans les populations migratrices, et devient presque ocre. Elle a le front rouge, les joues blanches et une longbec pointu foncé. Ses longues pattes sombres traînent en vol et son long cou est maintenu droit en vol. Les immatures ont le dessus roux et le ventre gris. Les deux sexes se ressemblent. La taille varie selon les différentes sous-espèces. Cette grue lance souvent un appel claironné qui rappelle un R roulé français et que l'on peut entendre à grande distance.

Les couples de grues se livrent à des appels à l'unisson. Elles se tiennent l'une contre l'autre, se livrant à un duo synchronisé complexe. La femelle lance deux appels à chaque appel unique du mâle.

C'est le seul grand oiseau gris d'Amérique du Nord en dehors du Grand Héron. Ce héron est de dimension similaires à la grue du Canada et est parfois appelé à tort une grue, même s'il est très différent dans les détails de son plumage et de son allure. Comme autres hérons, il vole avec le cou rentré dans le corps.


N°1773 (1999)
À l'âge adulte, elle a une envergure de 2 à 2,5 m ce quien fait un oiseau capable de planer comme les faucons et les aigles. Utilisant les thermiques comme ascenseur, elles peuvent rester en l'air pendant plusieurs heures, ne nécessitant que des battements d'ailes occasionnels et par conséquent ne dépensant que peu d'énergie.

On a dit que les grues du Canada dévoraient leurs petits si les parents les sentaient trop faibles. Cela semble peu probable. Ils dévorent les jeunes d'autres espèces, comme les canetons, surtout quand ils élèvent leurs petits. Cependant, les grues sont douces vis-à-vis de leurs petits blesséss blessés et à respectent les cadavres de leurs jeunes.

La grue du Canada migre vers le sud pour l'hiver. Dans les aires d'hivernage, elles forment des troupeaux de plus de 10 000 oiseaux. Un bon endroit pour les observer est à Bosque del Apache National Wildlife Refuge, à 150 km au sud d'Albuquerque, au Nouveau Mexique où se tient chaque année un festival de la grue en novembre.

On la trouve en Amérique du Nord, à Cuba et dans l'extrême nord-est de la Sibérie.


Lorsqu'il a achevé sa mue de printemps, le mâle arbore un plumage jaune citron vif, une couleur qui vient des pigments de caroténoïde des plantes qu'il ingère. Son capuchon est noir et son postérieur, visible pendant le vol, est blanc. La femelle est d'un jaune tirant sur le vert olive. Après la mue d'automne, les plumes d'un jaune vif deviennent ternes. L'oiseau prend une couleur chamois sur le ventre et brun-olive sur le dessus, avec une tête jaune pâle. Le plumage d'automne est quasiment le même pour les deux sexes. La seule différence tient aux marques jaune sur les épaules du mâle



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Alphonse de Lamartine
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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Jeu Nov 04, 2010 2:59 pm 
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Paruline du Canada
Wilsonia Canadensis
Ordre des Passériformes – Famille des Parulidés
La paruline du Canada a les parties supérieures bleu gris uni, les parties inférieures jaune canari, et les sous caudales blanches. Elle a un cercle orbitaire blanchâtre et une tache jaune sur les lores.

Le mâle présente un collier de taches noires en travers du haut de la poitrine, ainsi que sur les côtés de la face et le front. La femelle l’a plutôt gris foncé.
Les pattes sont claires, rose orangé. Le bec est fin et pointu. Cette espèce n’a pas de barres alaires claires ni de taches sur la queue.
Les deux sexes sont similaires, mais la femelle est plus terne.
L’immature est semblable aux adultes mais plus terne, avec moins de stries et de taches faciales.
QUELQUES MESURES :
L : 12-15 cm
Env : 17-22 cm
Poids : 9-13 gr

LONGEVITE : Jusqu’à 8 ans


N°1839 (2000)

La paruline du Canada se reproduit dans les forêts humides mixtes aux sous-bois denses, et les bosquets au bord de l’eau. Elle hiverne dans des habitats à moyenne et haute altitude, dans les plantations de café et les bordures de haies.La paruline du Canada se reproduit au Canada depuis l’est de la Colombie Britannique jusqu’à la Nouvelle Ecosse, vers le sud jusqu’au Minnesota, le nord Michigan et le Connecticut, et plus loin vers le sud dans les montagnes du nord de la Géorgie.
Elle hiverne dans le nord de l’Amérique du Sud, au Venezuela, en Colombie, en Equateur, au Pérou et au nord du Brésil.

La paruline du Canada se nourrit habituellement dans les sous-bois ou dans les branches basses, mais elle peut aussi attraper les insectes en vol. C’est une paruline active, se nourrissant en évidence dans le feuillage des buissons ou au bas des arbres, parfois en redressant la queue. Elle reste plutôt dans le bas, en sautillant souvent de manière brève.
Elle possède une large variété de tactiques pour se nourrir, se jetant souvent sur les insectes en surgissant du feuillage et en les capturant en vol. Elle glane sur les branches et occasionnellement sur le sol, et en sautillant. Elle rejoint souvent des groupes mixtes en hiver. La paruline du Canada passe peu de temps sur les zones de reproduction. Dernière arrivée et la première à repartir, elle fonce très tôt vers ses aires d’hivernage en Amérique du Sud. Elle migre de nuit, rapidement et de façon synchronisée, certaines suivant les côtes et les autres traversant le Golfe du Mexique.

La paruline du Canada semble être monogame, et leur comportement pendant les migrations laisse supposer que le couple reste uni toute l’année. Le mâle arrive apparemment avant la femelle sur les aires de reproduction, et défend agressivement le territoire en chantant. Ils deviennent très agités quand un intrus se présente, et effectuent une parade de distraction en criant très fort.La paruline du Canada se nourrit d’insectes volants et de larves. Elle consomme aussi des araignées, des escargots, des vers et saisonnièrement, des fruits.


Le Balbuzard pêcheur est une espèce de rapace diurne de taille moyenne ; c’est un piscivore spécialisé et cosmopolite. Ce rapace, singulier sur le plan morphologique, est assez différent des autres rapaces. Pour cette raison, son classement sur l'arbre phylogénétique est très discuté : plusieurs hypothèses ont été émises, mais l'hypothèse la plus répandue rapproche cette espèce des Accipitridae, famille formée entre autres par les aigles, les buses et les vautours de l'ancien monde.
Cet oiseau long de 54 à 58 cm pèse entre 1,4 et 2 kg. Son envergure varie de 150 à 180 cm. Ses parties inférieures sont blanches, ainsi que la tête, mais il présente sur les yeux une bande sombre, plus ou moins affirmée selon les sous-espèces. La poitrine et le dessous des ailes et de la queue présentent différentes marques sombres, variables en intensité selon les sous-espèces : une grande bande sombre au niveau de la pliure du poignet et à l'extrémité des rémiges, des taches sombres sur la poitrine et de fines stries grises et noires sur le dessous des ailes et de la queue. Le dessus de l'animal est brun brillant. Ses ailes longues et étroites ont l’extrémité digitée, ce qui lui donne un aspect caractéristique.

Il est particulièrement bien adapté à son régime alimentaire piscivore spécialisé, avec le doigt externe réversible afin de saisir ses proies avec deux orteils dirigés vers l'avant, et deux orteils dirigés vers l'arrière, des narines qu’il peut fermer afin d’éviter que l’eau n’y pénètre quand il plonge, et la plante des pattes munie de coussinets rendus rugueux par des écailles orientées vers l’arrière, qui l’aident à saisir les poissons, proies glissantes. Les serres sont fort longues et noirs. Les pattes sont grises, et le bec noir. Les yeux sont jaunes.

Il n'y a guère de dimorphisme sexuel chez cette espèce, mais la femelle peut être repérée dans un couple par le fait qu'elle est un peu plus grande que le mâle, qu'elle présente davantage de taches sombres (notamment au niveau de la poitrine) et que ses ailes sont un peu plus larges[1].

Les juvéniles sont très similaires aux adultes mais ont les yeux orange, davantage de taches sombres sur la poitrine, et des plumes de couverture plus claires mélées aux sombres sur le dos, ce qui confère à ce dernier un motif en "écailles"

N°1840 (2000)
Le Balbuzard pêcheur est un piscivore presque strict, puisque les poissons représentent 99 % de son régime alimentaire. Il repère ses proies lors de vols au-dessus de grands étangs ou de lacs, et souvent plane avant de plonger, d'une hauteur de 10 à 50 m, les pattes en avant pour capturer un poisson. Quand il reprend son essor, les poissons de grande taille sont placés tête en avant afin de réduire la résistance de l’air. Les serres sont des outils tellement efficaces pour maintenir les proies qu’il est arrivé que des balbuzards se noient parce qu’ils n’étaient pas capables de desserrer leur étreinte pour relâcher un poisson trop lourd. Les poissons capturés sont généralement des carpes, tanches, brochets, rotengles, brèmes, goujons, etc...
Le nid est un volumineux amas de branchages garni d'écorce, d'herbe et autres végétaux (voire de sacs plastiques), installé sur un arbre, un rebord rocheux, un poteau de téléphone ou une plate-forme artificielle. Dans quelques régions où leur densité est élevée, telles que la baie de Chesapeake aux États-Unis, la plupart des balbuzards ne commencent pas à se reproduire avant l’âge de cinq à sept ans, beaucoup des supports sur lesquels ils pourraient nicher étant déjà occupés. S’il n’y a pas de sites de nidification disponibles, les jeunes balbuzards peuvent être obligés de différer leur première reproduction. Le record de longévité chez cette espèce est de 25 ans.

Habituellement, les balbuzards forment des couples pour la vie. En mars, ou même plus tôt suivant la région, ils entament une période de collaboration de cinq mois afin d’élever leurs jeunes. Fin avril, la femelle pond de 1 à 4 œufs (2 ou 3 en moyenne). Les œufs, approximativement de la taille de ceux d'une poule, ont une couleur variant du blanc crème au beige rosâtre, avec des taches brun-rougeâtres sur la partie la plus large. Leur couvaison dure généralement 5 semaines. Les petits naissent couverts de duvet, et ont les yeux ouverts ; ils seront capables de voler à huit semaines. Quand la nourriture est rare, le premier poussin à éclore a plus de chances de survivre.
Le balbuzard est l’oiseau officiel de Nouvelle-Écosse au Canada et de Sudermanie en Suède.



Le Plongeon du Pacifique, aussi appelé Huard du Pacifique (Gavia pacifica) est une espèce d'oiseau de la famille des Gaviidae. Très proche du Plongeon arctique, il a longtemps formé avec ce dernier une seule et même espèce.D'une longueur comprise entre 58 et 74 cm, ce plongeon a une envergure de 110 à 128 cm et un poids qui peut varier de 1 000 à 2 500 g.

Il a le bec sombre, en forme de dague, et les yeux rouges. Il est très semblable au Plongeon arctique, mais ce dernier a les plumes de la nuque plus aplaties et plus de blanc sur les flancs.Les adultes en plumage nuptial ont la tête grise, la gorge noire avec des rayures noires et blanches latéralement, le ventre blanc et le dos présentant un échiquier blanc et noir.
Piscivore comme tous les plongeons, cet oiseau peut aussi consommer des invertébrés aquatiques pendant la saison de nidification. Il capture ses proies sous l'eau. Il peut poursuivre assez longtemps ses proies au cours des plongées grâce à des sacs aériens bien développés

N°1841 (2000)
Cette espèce est monogame tant que le couple produit de la descendance.

Le nid est bâti par les deux parents. Ce n'est parfois qu'un simple creux dans le sol, mais il peut aussi être garni d'herbe et de végétaux aquatiques. Dans tous les cas, il est toujours situé à proximité immédiate de l'eau, car les plongeons sont extrêmement malhabiles à terre et ne peuvent décoller que depuis un plan d'eau. La femelle pond un ou deux œufs teintés de couleur variant du marron au vert olive, et présentant des taches plus sombres, brunâtres. L'incubation dure de 23 à 25 jours. Les poussins sont duveteux et actifs dès l'éclosion (nidifuges).
Lorsque la ponte comprend deux œufs, le deuxième est pondu généralement quelques semaines après le premier et éclora donc plus tard. L'aîné des oisillons sera dominant sur son cadet et sera nourri le premier. Si la nourriture vient à manquer, l'aîné sera toujours privilégié, même si cela conduit le cadet à la mort.

Les deux parents s'occupent des petits. Ils promènent souvent leurs oisillons sur leurs dos afin de les protéger du froid et de la prédation. Les oisillons sont indépendants au bout de 5 à 7 semaines
Cet oiseau niche près des lacs profonds de la toundra ou du nord de la taïga. Son aire de répartition, lors de la saison de nidification, va de l'Alaska au nord du Canada, jusque, à l'est, l'île de Baffin sur le continent américain, et en Eurasie, on trouve cette espèce à l'est de la Léna en Sibérie (Russie).

Il hiverne en mer, principalement sur les côtes du Pacifique, mais aussi sur de grands lacs. Sa répartition est alors beaucoup plus vaste. On pourra le rencontrer en Chine, au Japon, en Corée du Nord et Corée du Sud, aux États-Unis et au Mexique.
Contrairement aux autres plongeons, le Plongeon du Pacifique migre souvent en groupe ). Cet oiseau migre vers le nord à partir d'avril pour les populations les plus méridionales, et de mai pour les autres, pour atteindre les aires de nidification. Certains plongeons de Sibérie font un grand détour, traversant l'Eurasie jusqu'à la mer Baltique, puis revenant le long des rivages jusqu'à l'embouchure de l'Ienisseï et de la Léna, ce qui représente un voyage de 15 000 km. Le retour de migration pourra commencer dès la mi-août pour les populations les plus boréales, n'hésitant pas (les jeunes volant encore très mal) à effectuer une partie du trajet à la nage. Le départ principal vers le sud, vers les aires d'hivernage, a plutôt lieu en octobre et novembre.
Des individus erratiques ont été observés au Groenland, à Hong Kong et en Grande-Bretagne.
Le Plongeon du Pacique et le Plongeon arctique avaient l'habitude, au large du Japon en fin d'hiver, de pêcher collectivement de petits poissons, les réunissant dans une aire réduite afin de les capturer plus facilement. Ceci attirait de plus gros poissons prédateurs, que les pêcheurs japonais pouvaient alors capturer en grand nombre. Avec une telle aide, les pêcheurs gagnaient en février-mars suffisamment d'argent pour vivre un an ; c'est pourquoi ces plongeons étaient considérés comme des messagers des cieux. De nos jours, le déclin des plongeons dans ces régions et l'adoption de nouvelles techniques de pêche ont fait disparaître ces pratiques



Le Geai bleu (Cyanocitta cristata) est une espèce de passereau de la famille des corvidés.Le Geai bleu présente les caractéristiques suivantes :

Longueur : 24 à 30 cm ;
Envergure : 34 à 43 cm ;
Poids : 70 à 100 g ;
Longévité : 18 ans.
Cette espèce ne présente pas de dimorphisme sexuel. C'est un oiseau très bruyant nichant régulièrement au Québec. Sa huppe courte (milieu à l'arrière du vertex) et les parties supérieures de son plumage sont bleues alors que son ventre est gris blanchâtre. Il porte un collier noir, ses ailes et sa queue sont parsemées de points blancs.

Le juvénile est plus terne avec le dessus plus gris et les couvertures alaires presque sans barres. Celles des secondaires et des rectrices sont moins régulières et présentent moins de blanc à leurs extrémités.


N°1842 (2000)
Son aire de répartition s'étend à l'est de l'Amérique du Nord, du sud du Canada au golfe du Mexique.

Ses milieux de vie sont les forêts de feuillus et les bois épars.

Il fait preuve d'un comportement singulier en prenant des bains de fourmis. Il se jette par surprise toutes ailes déployées dans une fourmilière obligeant ainsi les insectes affolés à secréter de l'acide formique pour se défendre. Ce comportement singulier, appelé « formicage », peut s'expliquer par le fait que l'oiseau utilise l'acide formique pour se débarrasser de ses tiques et autres parasites du plumage constituant ainsi pour les fourmis un stock de nourriture en récompense.



N°1842a (2000)



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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Jeu Nov 04, 2010 5:51 pm 
Avec les timbres collectionnes tu autre chose que la faune Canadienne?


  
 
 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Ven Nov 05, 2010 1:14 am 
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Bonjour Leolo,
Je garde tous les timbres canadiens depuis le 1er

N°1 (1851)
jusqu'au dernier de 2010
Je fais aussi les USA- le Japon- Australie- Nouvelle-Zélande- Afrique du Sud- Toute l'Europe de l'Ouest- L'Europe de l'Est avant 1945- Les anciennes colonies françaises avant indépendance et la France bien sur.
En ce qui concerne le Canada je fais aussi le Nouveau Brunswick de 1851 à 1860.
Nouvelle Ecosse de 1861 à 1863. Terre Neuve de 1857 à 1947.



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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Ven Nov 05, 2010 1:30 am 
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L'aigle royal

Remarquable par sa taille et ses exploits de haute voltige, l'aigle royal symbolise depuis longtemps le courage et la puissance dans de nombreuses cultures. Son aire de nidification est vaste : on le retrouve au Yukon et depuis la Colombie-Britannique jusqu'au Labrador. L'aigle royal mâle mesure plus d'un mètre. La femelle est légèrement plus grande et peut peser jusqu'à 5,9 kilos. Doté d'une envergure pouvant atteindre plus de 1,80 mètre, cet oiseau est un rapace puissant et agile. C'est à l'aurore que l'aigle royal capture ses proies, de petits mammifères, dans les champs et les marais ainsi que sur les berges des lacs et des cours d'eau. Le mâle et la femelle construisent ensemble un nid d'environ un mètre de diamètre sur le bord de falaises.


La sterne arctique

Membre de la famille des goélands, la gracieuse sterne arctique niche en colonies dans l'île d'Ellesmere, dans le Nord de la Colombie-Britannique, le Sud de la baie James et le Centre du Québec ainsi qu'à Terre-Neuve et le long du littoral de l'Est du Canada. Elle mesure entre 35,6 cm et 45,7 cm, mais sa longue queue la fait paraître encore plus grande. Très protectrice, la sterne arctique s'abat sur les prédateurs, y compris les humains, qui s'approchent trop près de son nid et de sa progéniture. Elle le construit dans un creux du sol, dans la mousse ou à même le roc.



Le lagopède alpin

Grâce à l'épaisse couche de plumes qui lui recouvre les pattes et les doigts, le lagopède alpin est bien adapté aux rigueurs du climat de son aire de nidification, c'est-à-dire Terre-Neuve, le Yukon et la Colombie-Britannique. Son plumage, dont la couleur varie selon les saisons, est un moyen de camouflage et de protection contre les prédateurs. Lorsque le couple de lagopèdes alpins sent sa couvée menacée, il fait du bruit et s'agite en tous sens afin d'attirer l'attention du prédateur et de permettre à ses oisillons de se cacher. Le lagopède alpin construit son nid dans un creux du sol ou dans la mousse et le tapisse d'un peu de brins d'herbe, de petites feuilles et de quelques plumes.


Le bruant lapon

Ce petit oiseau chanteur abonde dans les régions septentrionales du Yukon, des Territoires du Nord-Ouest, du Nunavut, du Québec, du Labrador, de l'Ontario et du Manitoba. Légèrement plus grand que la femelle, le mâle mesure entre 12,7 cm et 17,8 cm. Son plumage nuptial présente des couleurs éclatantes et un motif prononcé. Le bruant lapon passe une bonne partie de son temps au sol. Il niche dans les endroits humides où se trouve de l'herbe fraîche, notamment dans les prairies; il hiverne dans les champs, les dunes et le long du littoral. Son nid, en forme de petite coupe, est composé de brins d'herbe, de mousse et de racines et construit dans une dépression à même le sol.

N°1889-N°1890-N°1891-N°1892

N° (2009)



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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Ven Nov 05, 2010 10:12 am 
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L'Alouette hausse-col (Eremophila alpestris) est une espèce d'oiseaux. Comme toutes les alouettes elle appartient à la famille des Alaudidae.
Cet oiseau de 18 à 20 cm de long est brun sur le dessus du corps. La face et la gorge sont d'un jaune un peu délavé et portent des marques noires : une petite bavette sur la gorge, des marques en forme de moustache qui partent du bec et passent sous l'œil et une ligne fine de plumes un peu saillantes située entre le jaune de la face et le brun de la calotte. Les yeux sont noirs, les pattes et le bec gris fer. La queue et les ailes comportent des plumes noires à très fine marge blanche. Les juvéniles ne possèdent pas de marques noires sur la face et ont le dos constellé de taches argentées. Le dessous du corps est gris-beige très clair.

Au sol, cet oiseau préfère courir ou marcher plutôt que sautiller. se nourrit de graines et d'insectes collectés sur le sol.L'Alouette hausse-col vit dans les zones de végétation basse, voire rase, telles que la toundra, les prairies alpines ou les zones désertiques. En hiver, elle fréquente surtout les littoraux sableux ou graveleux.

Son aire de répartition est vaste et couvre une bonne partie des continents de l'hémisphère Nord.

Cet oiseau est migrateur ; il va passer la saison hivernale dans le sud de son aire de répartition. Il est fidèle à son lieu de naissance, où il reviendra après chaque migration (philopatrie).
Son nom vient du hausse-col, pièce d’armure servant à protéger la base du cou.

N°2095 (2005)



Le Pluvier siffleur (Charadrius melodus) est une petite espèce de limicole appartenant à la famille des Charadriidae. De la taille d'un moineau et de couleur sable, il niche et se nourrit sur les plages de sable et de gravier. L'adulte a les jambes jaune-orange, une bande noire traversant le front de l'œil à l'œil et un anneau noir autour du cou pendant la saison de reproduction qui est souvent plus grand chez le mâle et qui sert à essayer d'attirer les femelles. Il court sur une courte distance puis s'arrête. Il est difficile à voir quand il est immobile car son plumage se marie bien avec le sable de la plage. Mâles et femelles sont difficiles, voire impossibles à distinguer. Simplement, au cours de la saison de reproduction les mâles ont généralement une large bande noire autour du cou alors que les femelles en ont une étroite.



Il y a 2 sous-espèces de Pluviers siffleurs: la population de l'Est est connue sous le nom de Charadrius melodus melodus et celle de l'Ouest de Charadrius melodus circumcinctus.
Son nom vient des petits sifflets plaintifs souvent entendus avant que l'oiseau ne soit visible.Sa population totale est actuellement estimée à environ 6 410 individus en 2003 dont 3 350 sur la côte atlantique à elle seule, soit 52% du total. La population est en augmentation depuis 1991.
Son habitat de reproduction est les plages ou les zones de sable sur la côte Atlantique, les rives des Grands Lacs et le centre-ouest du Canada et des États-Unis. Il niche directement sur les plages de sable ou de gravier.
Il recherche sa nourriture sur les plages, le plus souvent par la vue, se déplaçant rapidement sur la plage sur de courtes distances. En règle générale, le Pluvier siffleur cherche sa nourriture dans la zone de marée haute et au bord de l'eau. Il mange principalement des insectes, des vers marins et des crustacés.

N°2096 (2005)




Le Bécasseau à échasses ou Bécasseau échasse (Calidris himantopus) est une espèce de limicole appartenant à la famille des Scolopacidae et à la sous-famille des Calidridinae.

Ce bécasseau mesure de 18 à 23 cm.


N°2097 (2005)




Lagopède des saules Lagopus lagopus - Willow Ptarmigan
Il a des caractères de reconnaissance qui ne sont pas très éloignés de ceux du lagopède alpin. Légèrement plus grand, il a un bec plus fort et son plumage d'été est plus roux. Les lagopèdes des saules changent en effet trois fois de plumage au cours de l'année (et non pas deux comme la plupart des oiseaux). En toutes saisons, leur plumage est mimétique et leur permet de se camoufler parfaitement dans leur milieu ambiant, surtout les femelles. Chez les lagopèdes, la mue progresse de la tête vers la queue. En hiver, les deux sexes sont presque entièrement blanc, hormis la queue qui demeure noire tout au long de l'année. Leurs doigts sont emplumés, ce qui facilite leur marche dans la neige. Dès la fonte des neiges, les femelles s'empressent de revêtir leur tenue nuptiale rayée ou domine le brun, le noir et l'or. Les mâles entament leur mue plus tardivement pour acquérir une livrée partiellement marron-roux au début de la période de nidification. A ce moment-là, les crêtes rouges gonflables qu'ils possèdent au dessus des yeux sont particulièrement évidentes spécialement durant les combats territoriaux et les accouplements alors qu'elles sont plus pâles et à peine visibles chez les femelles.


Le lagopède des saules habite la ceinture boréale de l'hémisphère nord, comme le lagopède muet, mais il n'avance pas si loin dans le nord, et descend plus au sud. Il fréquente surtout les régions de moindre altitude, toundras et forêts parsemées d'étangs où il trouve des conditions idéales pour la nidification et des ressources suffisantes pour son alimentation. Il évite les milieux rocheux et dénudés qu'affectionne le lagopède alpin.
Les formes de groupement changent selon les saisons. Grégaire en hiver, le lagopède des saules devient territorial et forme des couples lors de la période de reproduction.
Le lagopède possède un menu végétarien.En hiver, il se nourrit de tiges et bourgeons de saules, de bouleaux et d'aulnes. Au printemps, tiges et fruits d'airelles viennent agrémenter le menu. En été, il s'alimente de feuilles, de plantes herbacées, de fruits et de graines. Le régime des jeunes est composée d'insectes et de plantes.


N°2098 (2005)



Le Cormoran à aigrettes est une espèce d'oiseau marin se trouvant en Amérique centrale, dans les Caraïbes et en Amérique du Nord. Autrefois menacé par l'utilisation du DDT, cette espèce a récemment vu ses effectifs augmenter

Le Cormoran à aigrettes est un oiseau aquatique de grande taille avec un corps trapu, un long cou, une queue de taille moyenne, des doigts palmés et un bec crochu. Il mesure entre 70 et 90 centimètres de long avec une envergure de 114-132 cm. Il pèse entre 1 200 et 2 500 grammes. Il n'y a pas de dimorphisme sexuel chez cette espèce
Le Cormoran à aigrettes nage le corps enfoncé dans l'eau, et quelquefois seulement son cou et sa tête sont visibles. Il plonge à partir de la surface. Il utilise ses pieds pour se propulser sous l'eau et peut plonger à une profondeur de 1,5 à 7,5 mètres pendant 30-70 secondes. Le plumage n'étant pas totalement étanche, il peut passer après la plongée de longues périodes debout avec les ailes ouvertes, ce qui permet de sécher les plumes. Cette espèce vole souvent au ras de l'eau, le bec légèrement relevé et les individus quittent souvent la colonie à la queue leu leu.
La nourriture est prise en mer, dans les lacs d’eau douce et dans les rivières. Les Cormorans à aigrettes consomment surtout du poisson, mais quelquefois se nourrissent d’amphibiens et de crustacés. Comme tous les cormorans, cette espèce plonge pour trouver ses proies. Les plus petits poissons peuvent être consommés tandis que l’oiseau est encore sous l’eau mais les proies plus grandes sont généralement amenées à la surface avant d’être mangées. Les cormorans rejettent des pelotes de régurgitation contenant les matériaux non digérés de leurs proies comme des os. Ces pelotes peuvent être disséquées par les biologistes afin de déterminer le régime alimentaire des cormorans.
Le Cormoran à aigrettes est une espèce commune et répandue en Amérique du Nord. Il migre à partir des régions plus froides de son aire de reproduction, comme l'est du Canada, et passe l'hiver partout où les eaux sont libres de glace. En effet, il se retrouve au nord de l'Alaska sur la côte ouest et au sud de la Nouvelle-Angleterre sur la côte est. Il peut également se retrouver vers le sud jusqu'au Mexique, en Floride et aux Bahamas. Il a été observé en Europe en Grande-Bretagne, en Irlande et aux Açores.


N°2099 (2005)



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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Ven Nov 05, 2010 10:16 am 
Méchant passe-temps qui doit prendre bien du temps. Avec tous ses pays là.

Oui, c'est du boulot surtout quand on recherche des vieux timbres. Puis faut cataloguer, ranger etc...
Je garde aussi les pièces de monnaie, billets de banque, anciens documents; la philatélie est vraiment ma passion 1ère. Saint Luc


  
 
 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Sam Nov 06, 2010 2:17 am 
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L'Océanite cul-blanc ou Pétrel cul-blanc (Oceanodroma leucorhoa) est une espèce d'oiseau de mer de la famille des Hydrobatidae
Cet oiseau de 18 à 21 cm et d'une envergure de 43 à 48 cm pèse de 40 à 50 g[
Sa tête, son dos et ses épaules sont d'un gris-brunâtre très sombre ; ses flancs sont bruns. Une bande plus claire parcourt le dessus de l'aile, du poignet au bas du dos. Le reste de l'aile est noir, de même que la queue, le ventre et le dessous des ailes. Le croupion présente cependant une tache blanche traversée d'une fine bande médiane noire. Les pattes, le bec et les yeux sont noirs.

L'Océanite cul-blanc peut être confondu avec la Guifette noire qui a le bec plus long et le croupion entièrement sombre, ou avec l'Océanite tempête qui est plus petit et a le dessus des ailes entièrement sombre

L'Océanite cul-blanc suit les cétacés et les poissons prédateurs afin de récupérer, tout en restant en vol, des miettes de poissons ou d'invertébrés marins, voire de l'huile de poisson flottant en surface. Il lui arrive de suivre les navires de pêche afin de profiter des rebuts rejetés en mer.
Cet oiseau vit généralement en petits groupes. Silencieux lorsqu'il est en mer, il émet au nid des gloussements et des couinements
Ne venant à terre que pour nicher, cet oiseau choisit un nid dans un trou ou un terrier dans les rochers de la côte. La saison de nidification se déroule d'avril à juillet. Un seul œuf est pondu. Un des deux parents couve, tandis que l'autre part en mer en quête de nourriture et ne reviendra qu'à la nuit tombée.
Cet oiseau peut vivre jusqu'à 24 ans
Cet oiseau de mer hauturier ne vient à terre que pour nicher, et uniquement de nuit. Il peut arriver qu'on le voit, lors de tempêtes d'automne, passer non loin de la côte, voire être déporté à l'intérieur des terres, mais cela reste rare.

N°1979 (2003)




La Bernache cravant (Branta bernicla) est une espèce d'oiseau migrateur appartenant à la famille des Anatidae.
Facilement identifiable, la Bernache cravant ressemble à une petite oie à dominante sombre. En effet, la tête, le cou, la poitrine, la queue, le bec et les pattes sont noirs tandis que le dessus du corps est gris brun avec des bordures claires. Le dessous du corps et les ailes sont gris brunâtre. Les sus et les sous-caudales sont blanches. Les iris sont brun foncé.

L'adulte se distingue du jeune par la tache blanche qu'il arbore de chaque côté du cou, formant une cravate d'où est tiré le nom spécifique français.

Cet oiseau mesure entre 51 et 66 cm de longueur pour une envergure de 105 à 117 cm et une masse de 1,2 à 1,7 kg.

La zone de nidification s'étend dans la toundra de tout l'hémisphère nord. Selon les populations, la Bernache cravant hiverne en Europe, au sud des États-Unis, dans la Nouvelle Zemble ou en Asie du Sud. Elle apprécie particulièrement les zones humides et salées. Elle fréquente principalement des vasières dans des abris naturels, le plus souvent en bandes qui peuvent atteindre plusieurs centaines d'individus. Cinq sites d'observation privilégiés de la Bernache cravant sont répertoriés en France, dans le Finistère: l'anse de Penfoulic au Cap-Coz à Fouesnant, l'anse de Goulven et en hiver sur les Côtes-d'Armor:à Saint-Jacut-de-la-Mer à l'embouchure du Trieux, mais aussi à Kerpalut à côté du port de Paimpol ou en Baie de Saint-Brieuc où elles hivernent.

La reproduction a lieu au mois de juin, la bernache cravant niche en petites colonies souvent sur des îles. Le départ en migration a lieu dès la fin du mois de septembre, en hiver elle s'associe souvent au canard siffleur.

C'est une espèce avant tout marine que l'on rencontre rarement en eaux douces. Sur les lieux d'hivernage, la bernache cravant est un herbivore strict, essentiellement spécialisé sur deux phanérogames de l’estran : les zostères marine et naine (Zostera marina et Z. noltii). Cette dépendance fut à l’origine de sa raréfaction dans le second tiers du XXème siècle, suite à la forte diminution des surfaces d’herbiers à zostère dans les années 1930. Mais avec l’augmentation des effectifs des bernaches dans les années 1970, on a observé des modifications de leur comportement alimentaire. Ainsi au cours de l’hiver et selon les secteurs occupés, les bernaches vont consommer préférentiellement Zostera sp. avant de se reporter sur une ressource alternative comme des Ulvaceae ou encore sur les herbus de prés-salés. Depuis quelques dizaines d’années, les bernaches ont élargi la gamme de leurs ressources alimentaires en stationnant de façon plus prononcée sur des prairies pâturées ou encore des céréales d’hiver.

La population mondiale est évaluée à 570 000 individus principalement en Europe dont 125 000 en France et en Amérique du Nord. L'espèce n'est pas menacée.


N°1980 (2003)





Le Grand Cormoran, ou Cormoran commun (Phalacrocorax carbo), est une espèce d'oiseau aquatique qui appartient à la famille des phalacrocoracidés. Son aire de distribution est très vaste (Europe, Asie, Océanie, Afrique, et une frange orientale de l'Amérique du Nord) ; on y distingue habituellement cinq à huit sous-espèces.
Cet oiseau a une taille moyenne de 90 cm (84 à 98 cm) pour 150 cm d'envergure en moyenne (de 130 à 160 cm) et un poids de 2 à 3,7 kg
Même si le mâle est en moyenne plus corpulent que la femelle et son bec plus large, il n'existe pas de dimorphisme sexuel chez cette espèce.

Le plumage du grand cormoran adulte est entièrement noir, à l'exception de taches blanches plus ou moins étendues sur les joues et la gorge des adultes et des reflets bleus dans le plumage noir, ou vert-bronze au niveau du dos et des ailes. Lors de la période de reproduction apparait de plus une tache blanche au sommet de chaque cuisse. Certaines sous-espèces peuvent aussi avoir lors de cette période des plumes blanches sur le cou. Phalacrocorax carbo sinensis présente, à cette époque de l'année, une nuque blanche.

Le bec de ce cormoran est de couleur blanc-crême ou gris clair ; il comporte une large tache jaune à la commissure des lèvres ce qui le distingue, outre sa plus grande corpulence, des autres espèces. Les yeux sont verts et les pattes palmées sont noires.

Les juvéniles ont un plumage plus clair, avec le dos brunâtre et le ventre et la poitrine blancs.
Le Grand cormoran vole la tête tendue, avec le cou légèrement coudé. Son vol puissant, aux battements d'ailes réguliers, peut alterner avec de longs planés.

Le Grand cormoran est un bon plongeur ; il peut plonger jusqu'à 10 mètres de profondeur pour capturer sa proie, voire 30 mètres. Il nage rapidement sous l'eau et peut tenir une minute en plongée.

Il ne peut toutefois y demeurer longtemps car il ne possède pas comme les autres palmipèdes de glande uropygienne permettant d'imperméabiliser son plumage. De ce fait, l'eau mouille son plumage et leste l'oiseau lui permettant d'aller plus en profondeur pour attraper des poissons. De plus, le grand cormoran a l'étrange habitude de nager non pas sur l'eau mais le corps à moitié voire complètement sous l'eau, un peu comme un sous-marin dont le périscope sortirait en surface . Une fois sorti de l'eau, perché ou au sol, il passe parfois des heures à se sécher, ailes et queue déployées (on parle de position en étendard). Ce comportement pourrait également avoir un rôle social et un rôle dans la digestion.

Le grand cormoran se nourrit principalement de poissons vivants qu'il pêche en plongeant par intermittence, entre deux parcours à la nage, dans des eaux à faible courant ou stagnantes. Bien que la plupart de ses proies ne dépasse pas 20 cm, il est capable de capturer des poissons d'un kilo et demi. Il peut aussi consommer des crustacés, amphibiens, mollusques ainsi que de petits oiseaux au nid.

Le grand cormoran plonge sous l'eau depuis la surface pour capturer ses proies, qui vivent généralement sur le fond, même s'il lui arrive de pêcher des poissons de banc en zone plus profonde. Ses pattes sont largement palmées et ses yeux sont équipés de cristallins suffisamment déformables pour s'adapter à la vision sous l'eau. Les proies les plus volumineuses sont remontées en surface avant d'être avalées

Le Grand cormoran est un oiseau sociable. Il se nourrit généralement en solitaire, mais peut former des groupes sur les zones particulièrement poissonneuses. Les individus ont tendance à se percher et à voler en communauté. Lors de la saison de nidification, leur comportement devient grégaire ; les colonies de Grands cormorans sont souvent associées à d'autres espèces de cormorans ou à divers Laridae
Le Grand cormoran vit près de plans d'eau douce, saumâtre ou salée, riches en poissons, mais présentant un courant faible ou nul ; il évite généralement les plans d'eau trop petits ou aux eaux trop profondes. Ce peut être un estuaire, un delta, une mangrove, une baie abritée, un lac, un étang, voire un port ou une marina. Lorsqu'il ne pêche pas, il se perche très souvent sur un support en hauteur. Les arbres servant de perchoir aux cormorans ont les feuilles "brûlées" par les fientes de ces oiseaux
Il vit sur une très large aire de distribution (Europe, Asie, Océanie, Afrique, et une frange est de l'Amérique du Nord). Les populations sont concentrées dans les zones où les conditions sont favorables à l'espèce et l'aire de répartition est donc discontinue. Cette aire s'étend entre 74°N et 47°S

Cette espèce peut être sédentaire, partiellement migratrice ou migratrice selon les populations considérées. Seules les populations les plus septentrionales migrent ; toutes les autres sont sédentaires ou se dispersent en dehors de la saison de reproduction. Les populations migratrices réalisent des mouvement migratoires variables : par exemple, les individus de la sous-espèce Phalacrocorax carbo sinensis vivant en Europe centrale migrent vers la Méditerranée jusqu'au Golfe Persique. Les Phalacrocorax carbo carbo européens ne font guère que se disperser en hiver, gagnant souvent la côte (mais de nombreux individus restent dans les terres en Irlande) alors que les populations américaines de cette même sous-espèce (Canada, Groenland, Maine aux Etats-Unis) migrent vers le sud, certains individus allant jusqu'au New-Jersey, en Caroline du Nord ou du Sud, voire en Floride. Les populations australiennes se dispersent en fonction des inondations ou des sècheresse
Le terme Phalacrocorax vient de la juxtaposition de deux termes grecs (Phalakros, chauve et korax, le corbeau). Le terme carbo (le charbon en latin) fait allusion à la couleur noire de cet oiseau.
Le mot cormoran a pour origine deux mots du vieux français, corp (le corbeau) et (marenc) de mer, ce qui a donné cormareng au 12e siècle, puis cormaran au 13e siècle

N°1981 (2003)





Le Guillemot de Troïl (Uria aalge), aussi connu sous le nom de Guillemot marmette au Canada (Uria aalge), est une espèce d'oiseau marin de la famille des alcidés.
À première vue, le guillemot marmette ressemble à un petit manchot. Il se tient d'ailleurs debout comme un manchot lorsqu'il est à terre. Les adultes mesurent de 38 à 46 cm de longueur, avec une envergure d'aile de 61 à 73 cm. Ils ont la tête, le dos et les ailes brun foncé, presque noirs, et le dessous du corps blanc. Leur long bec foncé est mince et pointu et leur queue, également foncée, est courte et arrondie. Certains individus de l'Atlantique nord présentent la forme dite « bridée », avec un cercle oculaire blanc et une ligne blanche qui s'étire derrière l'œil. Le plumage d'hiver est presque identique, sauf que la gorge et les joues deviennent blanches et une ligne foncée apparaît derrière l'œil.

Le guillemot marmette niche sur des îles, des rivages, des falaises et des pitons rocheux sur les côtes de l'Atlantique et du Pacifique nord, en Amérique du Nord et en Europe de l'ouest. Pendant la période de reproduction, on le retrouve sur la côte nord du Pacifique en Alaska, en Colombie-Britannique et vers le sud jusqu'au centre de la Californie et le nord du Japon, ainsi que sur les côtes de l'Atlantique nord, du Labrador jusqu'en Nouvelle-Écosse, et de la Norvège jusqu'au Portugal. En France, quelques couples nichent encore dans la réserve du Cap Sizun, dans le Finistère, dans la réserve naturelle des Sept-Îles au large de Perros Guirec ainsi que dans les falaises du Cap Fréhel dans les Côtes d'Armor.

Certains oiseaux sont des résidents permanents, mais pendant l'hiver, les oiseaux nordiques migrent vers le sud pour trouver des eaux libres de glace jusqu'en Nouvelle-Angleterre, au sud de la Californie et à l'ouest de la Méditerranée.
Le guillemot marmette est une espèce pélagique, qui passe presque tout son temps en mer, sauf pendant la période de reproduction. Il cherche sa nourriture en « volant » littéralement sous l'eau à l'aide de ses puissantes ailes. Il se nourrit surtout de petits poissons de banc (200 mm de long au maximum), mais aussi de quelques crustacés, de vers marins et de calmars. Il plonge souvent jusqu'à 30 m de profondeur, mais on a enregistré des plongeons de plus de 150 m.

Cet oiseau niche généralement en colonies denses et pond son unique œuf directement sur le roc ou le sol. Les œufs ont la forme d'une poire, de telle façon qu'ils pivotent sur eux-mêmes lorsqu'ils sont dérangés, et ne tombent pas en bas de la falaise. Leurs couleurs et leurs motifs varient, probablement pour aider les adultes à les reconnaître. Dès qu'il atteint deux semaines, le jeune n'est plus gavé (de poissons) au nid par ses parents. C'est sur l'eau que ses parents le nourriront jusqu'à l'achèvement de sa croissance (la taille d'un gros canard), vers la fin de l'été.

Le guillemot de Troïl s'installe volontiers en colonies à mi-hauteur des falaises.

On ne trouve plus en France que 150 couples, confinés aux côtes nord de la Bretagne, où la pollution pétrolière les menace gravement. Aux îles Britanniques, c'est, avec 570 000 couples nicheurs, l'oiseau de mer le plus commun. Après quelques migrations vers le sud, les adultes deviennent presque sédentaires.

N°1982 (2003)






FAUCON GERFAUT Falco rusticolus Ordre Accipitriformes Famille : Falconidés Taille: 51-56 cm Envergure: 1,20-1,35 m Poids: 1,00-1,60 kg
Comme certains rapaces, aigle criard ou buse, il possède diverses colorations de plumage au nombre desquelles on peut citer trois phases principales : La phase sombre est caractérisée par un dessous blanc avec des marques foncées, un dessus gris-ardoise foncé,des joues gris-brun et des moustaches peu apparentes.Dans la phase intermédiaire, grise, le dessous demeure blanc mais les marques foncées sont moins évidentes et le contraste avec le dessus gris est moins perceptible. la tête est blanche. La dernière phase, notre illustration, est aussi la moins courante. Elle concerne les espèces les plus nordiques. L'oiseau paraît entièrement blanc avec les extrémités des ailes noires et quelques taches corporelles sombres.
Bien qu'il ait une aire de répartition située très au nord de l'Europe, les grandes étendues plates des tourbières et de la toundra ne l' intéresse pas. Ils s'accomode plus aisément des régions accidentées et de hauts rochers à la limite des arbres d'où il peut surveiller les alentours en quête de proies. Il fréquente également les falaises des côtes marines où il trouve du gibier et des victimes à sa convenance.

Quand il vit à l'intérieur des terres, le gerfaut se nourrit essentiellement de lagopèdes, que ce soit lagopède alpin ou des saules. Par contre, dans les zones côtières, son régime varie et il chasse des oisaux marins, mouettes ou canards, ainsi que des campagnols qu'il traque sur les falaises bordant le rivage. Quand l'occasion s'en présente ou lors de périodes difficiles, il ne dédaigne pas les cadavres.
Le faucon gerfaut chasse parfois à l'affut mais, la plupart du temps, il tente de surprendre ses victimes en volant à rase-mottes. Si l'effet de surprise ne marche pas, il peut capturer sa proie en la poursuivant sur plusieurs kilomètres jusqu'à l'épuisement. Il est migrateur.

N°1983 (2003)



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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Sam Nov 06, 2010 9:38 am 


  
 
 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Sam Nov 06, 2010 9:59 am 
Billet de banque, monnaie, ancien document.... Pas des autres pays aussi j'espère, que tu collectionnes..

Dernièrement j'ai vendu des pièces de monnaie, de tous les pays que j'avais visité.
Comme je ne les regardais pas et que j'en tirais aucun plaisir à les regarder.
Bien je les ai vendu, mais je ne dis pas que ce n'est pas intéressant, c'est que moi cela ne m'intéresse plus, ça me dit rien quand je regarde une pièce de monnaie et si je disais que je suis collectionneur, il me semble que je n'aurais l'attention de personne. Mais moi je crois qu'il doit bien avoir des histoires, parce que justement c'est l'histoire du pays. Surtout avec les timbres.

Et dans le magasin auquel j'ai vendu cela, il y avait des pièces de monnaie d'avant Jésus-Christ.
Assez surprenant de trouver cela, et je suis prêt a gager qu'il devait y en avoir de Galion Espagnole en or.
Surprenant de voir ses magasin être ouvert, quand il sont souvent vide.
En tout cas il y en a du stock dans ce magasin,

Dans un autre magasin j'ai même vendu mes deux livres sur les monnaie Canadienne que j'avais acheté en 1980, parce que cela se collectionne aussi.

Et j'ai vendu plusieurs pièces de monnaie, auquel plusieurs magasin de collection ne voulait pas.
J'ai vendu ça a une fonderie toutes mes pièces d'argent, et le reste j'ai roulé ça et j'ai changé cela à la banque pour des billets. Parce que des vieilles pièces de un dollar ou de 50 cents, aucun commerce ne prends cela.

Depuis environ 10 ans les pièces de 50 cents, de un et deux dollar.
Ne ressemble plus a ce qu'il se faisait.
Et des 50 cents cela ne se trouve pas dans les commerces, et ils devraient arrêter dans faire. Si personne ne les demandes.

Salut :bye


Dernière édition par leolo le Sam Nov 06, 2010 1:53 pm, édité 1 fois au total.

  
 
 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Sam Nov 06, 2010 10:27 am 
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Je pense que les vrais collectionneurs ont ca dans le sang, ils sont passionnés :roll ce n'est pas un simple dada passagé

je me posais une question tantôt ( ben oui des fois je me parle et je me réponds ) :ahah :ahah :ahah

Les gens qui se tiennent occupés 24 heures sur 24
est-ce qu'ils ne sont pas bien avec eux-même , ont peur de trop penser :zz :?

mon doux je m'éloigne du sujet
mister Saintluc va me coller un timbre sur le dos et va m'envoyer aller seulement pour le Groenland :E

:bye :bye vrrroummmmm.. elle est partie la madame :D



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rire ca dilate la rate et ca détend tandis qu'être fru ca stress 210 muscles du visage alors on garde le sourire
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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Sam Nov 06, 2010 1:08 pm 
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Au contraire Poussière, nous restons au fait de l'information et chaque jour on apprend.
De plus, j'ai pas mal de correspondants dans divers pays comme le Japon, l'Australie, la Nelle Zélande etc... Et les échanges ne sont pas que sur la philatélie, mais sur tous les sujets de notre vie mondiale. Apprendre aussi comment se passe les évènements chez chacun d'eux etc...



Le Roitelet à couronne rubis (Regulus calendula (Linnaeus, 1766)) est une espèce de passereau appartenant à la famille des Regulidae.

Son habitat de nidification est la forêt de conifères à travers le Canada, l'Alaska, le nord de la Nouvelle-Angleterre et l'ouest des États-Unis. Il niche dans une coupe bien dissimulée pendue à une branche de conifère et la femelle peut pondre jusqu'à douze œufs par couvée.


Les études récentes indiquent que leur population est en hausse. Ceci est principalement dû à la découverte du territoires moins perturbés plus au nord. Cela permet des élevages de petits avec plus de succès.

Ces oiseaux migrent vers le sud des États-Unis et le Mexique. Certains oiseaux sont résidents permanents dans l'ouest

N°2036 (2004)





Bec-croisé bifascié Loxia leucoptera
Il ressemble fort au bec-croisé des sapins, par la taille, l'allure et la coloration. Il a cependant le bec plus fin, avec la mandibule inférieure davantage prolongée vers le haut et mieux adaptée à l'ouverture des cônes de mélèzes. Le principal signe distinctif du bec-croisé bifascié est fourni par deux larges bandes alaires blanches, et ce aussi bien chez le mâle de teinte rouge que chez la femelle de couleur jaunâtre. En vol, leur allure rappelle celle du pinson des arbres.
Le juvénile est densément strié avec de fines barres alaires. L'immature mâle a beaucoup de jaune avec des taches rouges ou roses.
Il existe une autre espèce de bec-croisé, le bec-croisé perroquet (Loxia pityopsittacus) qui vit dans les forêts de pins d'Europe Septentrionale, et qui se distingue par un bec très fort, presque comme un bec de perroquet. Sur ces trois espèces, on peut très nettement constater l'adaptation de la forme du bec à la nourriture la plus courante : bec-croisé des sapins implique graines d'épicéas, bec-croisé bifascié signifie graines de mélèzes, bec-croisé perroquet entraîne forcément graines de pins.
On trouve également un autre bec-croisé, Loxia leucoptera megaplaga, d'Hispaniola. il a le plumage plus foncé que le bec-croisé bifascié, et un bec plus fort. Il se nourrit dans les pins d'Hispaniola, Pinus occidentalis.


Le bec-croisé bifascié vit dans les forêts claires de conifères du nord et donne toujours sa préférence aux bois de mélèzes qui lui offrent sa principale nourriture, les graines des cônes de mélèze.
Distribution: le bec croisé bifascié vit en Alaska, au Canada, au nord de l'Amérique du Nord et en Asie jusque vers le nord-est de l'Europe.
Après la nidification, les familles de becs-croisés bifasciés se mettent à vagabonder, mais elles ne pénètrent que rarement, en hiver, en Europe Centrale et Occidentale, et seulement lorsqu'il y a une disette de graines de mélèze dans le grand nord. On rencontre parfois le bec-croisé bifascié isolé, d'autres fois en grandes bandes avec des becs-croisés des sapins. Les invasions de becs-croisés bifasciés sont rares.

Il mange aussi les graines d'autres conifères et celles de beaucoup d'autres plantes, et, dans une moindre mesure, des insectes. Son régime alimentaire végétarien quasiment exclusif peut le mettre en péril en cas de mauvaise saison qui entraîne un manque de ressources.
Pour se nourrir, le bec-croisé introduit son bec fermé entre les écailles des cônes, il écarte les deux parties du bec et récolte la graine avec sa langue.


N°2037 (2004)



Le Jaseur boréal (Bombycilla garrulus) est une espèce de passereau frugivore semi-migrateur habitant dans la taïga de Scandinavie et Russie. Il passe ordinairement l'hiver en Europe centrale mais chaque 30 ou 40 ans, lorsque les chutes de neiges y sont abondantes, il vient en nombre jusqu'en France.

Son plumage est beige et rose saumon ; quelques plumes de ses ailes sont terminées par une petite partie dénudée semblable à une gouttelette de cire rouge. Il s'installe lorsque les conditions climatiques sont aux frimas et est très facile à chasser car peu craintif, se posant par dizaines sur un même arbre. Il fut associé au malheur, notamment à la peste (Pestvogel en néerlandais), par les humains. De nos jours c'est une espèce protégée.

En temps ordinaire, il se nourrit essentiellement de baies ou de fruits d'hiver. En période de reproduction, il devient insectivore. Son espérance de vie est de 13 ans.

Certains ouvrages anciens y font référence sous le nom de Jaseur de Bohême.

N°2038 (2004)




la Mésange à tête noire (Poecile atricapilla
Cet oiseau :
est capable de se souvenir pendant 28 jours au moins de l'endroit où elle a caché de la nourriture
abaisse la température de son corps la nuit de 10 à 12 oC plus bas que celle qu’elle a pendant le jour, et ce, pour conserver son énergie
se vide presque totalement de son énergie en nourrissant ses oisillons de 6 à 14 fois par heure
a une hiérarchie sociale ou une « hiérarchie de becquetage » très établie
Du bec à la queue, la Mésange à tête noire (Poecile atricapilla) mesure de 12 à 15 cm seulement. Elle a le dos gris verdâtre, la poitrine blanche et les flancs de couleur chamois. Sa longue queue gris foncé ressemble à un manche. Une calotte noire, bien ajustée au?dessus de ses yeux pétillants, lui recouvre la tête depuis le bec en forme de cône jusqu’à la nuque, ou la partie postérieure du cou. L’espèce a les joues blanc pur et une tache triangulaire noire sur la gorge, ce qui complète ses marques les plus discernables. Parce que les mésanges habitent dans une si grande variété de climats et d’habitats, les oiseaux de populations différentes peuvent différer quelque peu quant à la taille et au plumage.

Durant l’automne et l’hiver, les Mésanges à tête noire vivent en groupes informels composés de 4 à 12 oiseaux. Chaque groupe est composé de paires qui se sont accouplées sur place l’été précédent et de juvéniles non apparentés qui ont immigré des populations avoisinantes.

D’octobre à mars, le groupe se déplace d’arbre en arbre au sein d’une zone de 8 à 20 hectares et suit des sentiers forestiers existant depuis longtemps à la vitesse approximative d’un demi-kilomètre à l’heure. Les oiseaux communiquent entre eux au moyen de notes douces qui ressemblent à des sit-sit qu’ils émettent de temps à autre. Chaque groupe défend son domaine vital contre les autres groupes en utilisant des vocalisations et un comportement agressif.

Dans le Nord, les Mésanges se perchent ordinairement dans les bosquets d’arbres à feuillage persistant denses, à l’abri du vent et de la neige. Le soir, quelques-unes disparaissent pour passer la nuit dans n’importe quelle cavité disponible, chacune hébergeant un seul oiseau. D’autres s’installent sur les branches supérieures de certains arbres à feuillage persistant ou sur les branches inférieures de jeunes épinettes touffues. Le groupe peut se percher au même endroit plusieurs nuits consécutives.

Pour se garder au chaud, la Mésange dresse ses plumes douces et épaisses pour retenir l’air chaud près de son corps, ce qui lui donne une bonne isolation contre le froid.

Au début du printemps, le groupe commence à se séparer et les couples consacrent les heures de clarté à défendre vigoureusement leurs territoires de reproduction contre leurs anciens compagnons de groupe. Durant cette période, il est possible que les oiseaux se reposent encore la nuit avec leur groupe, surtout par temps froids. Dès que commence la période de reproduction, la mésange s’éloigne rarement de son nid de plus de 3 à 7 hectares.

Caractéristiques uniques
Les Mésanges établissent entre elles une sorte de hiérarchie (hiérarchie de becquetage) selon laquelle chaque oiseau occupe un rang, fondé sur son degré d’agressivité. Ainsi, tous les oiseaux d’un groupe sont subordonnés au plus agressif, tandis que le moins belliqueux est soumis à tous les autres, lesquels se situent quelque part entre les deux extrêmes. Généralement, les mâles dominent les femelles, les adultes dominent les juvéniles. Les chefs obtiennent la meilleure pâture, les endroits les plus sûrs contre les prédateurs et non seulement survivent plus longtemps, mais ont plus de petits qui survivent. L’oiseau dominant menace, chasse et combat même le second, qui est toujours sur la défensive et lui laisse le chemin libre. Les oiseaux dominants ont rarement besoin de combattre les seconds une fois la hiérarchie établie. Les mâles et les femelles s’accouplent généralement selon le rang : un mâle dominant s’accouple avec une femelle dominante et ainsi de suite.

N°2039 (2004)






Bruant de LincolnMelospiza lincolnii
On le trouve dans l'Amérique du Nord (Alaska, Yukon, Mackenzie, Saskatchewan, jusqu'au Labrador et à Terre Neuve vers l'est et au Nouveau-Mexique vers le sud. Il hiverne dans le sud des Etats-Unis, en Amérique centrale, dans les Grandes Antilles et aux Bahamas. Au cours de la saison de nidification, ce bruant fréquente les tourbières, les prés relativement humides et parsemés de touffes d'aulnes et de saules ou de conifères rabougris, ainsi que d'autres endroits buissonneux semblables. En migration, il se trouve dans divers types de fourrés, dans des piles de bois, dans des haies, en bordure des routes et souvent dans des endroits à découvert, couverts de mauvaises herbes ou herbeux, à proximité de buissons ou en bordure de forêts.

Il en existe plusieurs sous-espèces : lincolnii dans l'est du Canada, gracilis sur la côte de la Colombie britannique et alticola dans le nord et le centre du pays.

Le bruant de Lincoln est très habile dans l'art du camouflage. Sur le terrain de nidification, on le reconnaît aux pépiements nerveux, presque frénétiques, qu'il émet lorsqu'un intrus s'approche de son nid. Dans ces circonstances, l'oiseau est toujours en mouvement, se dandinant, se retournant et agitant à la fois les ailes et la queue.
Il fait son nid au sol. Le nid est fait de gros brins d'herbe et garni à l'intérieur d'herbes plus fines et de radicelles. Les oeufs, au nombre de quatre ou cinq, sont couvés par la femelle seule durant treize jours.

N°2040 (2004)

N°2039 a



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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Sam Nov 06, 2010 1:52 pm 


  
 
 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Sam Nov 06, 2010 2:36 pm 
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:ahah :ahah :ahah



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 Sujet du message: Re: FAUNE DU CANADA PAR LES TIMBRES
PostPublié: Dim Nov 07, 2010 2:28 am 
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L'Eider à tête grise (Somateria spectabilis) est une espèce de palmipède appartenant à la famille des Anatidae.

S'il est légèrement plus petit que l'Eider à duvet, l'Eider royal ou à tête grise surpasse son cousin en termes de plumage. Avec sa grande tête anguleuse teintée de bleu ciel, de vert et de jaune vif, le mâle est un magnifique canard marin. En revanche, la femelle est marbrée et mouchetée de brun comme sa cousine.

L'Eider royal est un canard polaire et, même en hiver, la grande majorité de la population mondiale demeure sous de hautes latitudes. Mais chaque année, un petit nombre d'individus est observé au large des côtes plus méridionales, parmi des volées d'eiders à duvet. La plupart de ces oiseaux erratiques est signalée en hiver et, heureusement pour les ornithologues amateurs qui se disputent les places, ils semblent assez bien intégrés à une bande particulière d'eiders à duvet pour pendant leur séjour jusqu'à que celle-ci se disperse en mars pour la reproduction. Occasionnellement, des eiders royaux reviennent plusieurs hivers de suite sur le même site.





la méduse Crossota millsaeare, une espèce écarlate qui a récemment été découverte lors d'une expédition dans la zone polaire subarctique et qui habite les grands fonds marins.







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