Cypripedium calceolus Cypripède jaune, sabot de la vierge jaune
Orchidée sauvage, au labelles jaune or très gonflé, parsemées de lignes pourpres. Ses pétales sont vrillés et d'un brun plus ou moins foncé. Floraison qui dure environ 12 jours. Tige feuillée, glanduleuse-pubescente.
Bois riches. Général au Québec selon la Flore Laurentienne.

N°2129 (2005)

Calypso bulbeux Orchidée sauvage rare. En déclin en Amérique du Nord, sauf à l'Ile d'Anticosti ou elle bénéficie temporairement de la défoliation des sous-bois par les chevreuils. Elle y pousse à l'ombre de vieilles sapinières qui risquent de disparaître d'ici 50 ans, vu que les chevreuils ne laissent pas pousser de relève. Elle aime les forêts calcaires, forêts claires et ouvertes, avec beaucoup de débris ligneux au sol.
Bois de mousses, surtout dans les régions calcaires. Milieux humides et même détrempés. Plante nordique, espèce de région froide, nord-est du Québec, Gaspésie, Minganie, l'Ile d'Anticosti, un peu dans les environs de Québec et dans les Cantons de l'Est. Elle pousse sur la mousse dans les cédrières de la toundra.

N°2130 (2005)


Corallorhiza est un genre d'orchidées terrestres comptant une quinzaine d'espèces.Corallorhiza' littéralement Racine de corail.Plantes sans chlorophyle, ne pratiquant pas la photosynthèse, mais vivant en symbiose avec des chamipgnons.A l'exception de Corallorhiza trifida, qui est circumboréal, le genre est limité à l'Amérique du Nord.La vie de ces orchidées est conditionnée par la symbiose avec un champignon, ce qui fait que leur culture n'a jamais pu être réalisée

N°2187 (2006)



Utricularia intermedia

N°2195 (2006)



Scutellaire casquée

N°2196 (2006)

N° (2008)

N° N° N° N° (2008)

Roses canadiennes

N°1910 (2001)



Tulipes du Canada

BK257 (2002)



Jonquilles

N°2092 - N°2093 (2005)

N°2091



Acer saccharum - Cassia fistula

N°2000 - N°2001 (2003)

N°2001b


JARDINS
jardin d'ombre - jardin de fleurs - jardin d'eau - jardin de rocaille

N°2145a - N°2145b - N°2145c - N°2145d (2006)

LilaS

N°2207 - N°2208 (2007)
N°2207s - N°220 ?



PIVOINES

N°

N°2261 - N°2262 (2008)


RHODODENDRONS

N°

N°

N°2318 (2009)

Érable argenté - Érable de Pennsylvanie - Érable de Norvège -
Érable négundo - Érable noir - Érable nain
Érable à épis - Érable circiné
Érable champêtre - Érable rouge





N°1524a au N°1524l (1994)

Arum d’Ethiopie ou ZANTEDESCHIA ETHIOPICA
Vivaces à rhizomes tubéreux aimant les sols humides, frais, marécageux. Elle atteint 1 mètre de haut pour 60 cm de large. Des spathes blancs pur dominent les feuilles vert foncé de mai à juillet, avec un bon amendement organique en début de saison celles-ci se renouvelleront jusqu'aux gelés. Sa multiplication se fait par division des touffes à la sortie de l'hiver avant le démarrage de la végétation. Vous pouvez également faire des semis aux printemps.

N°2072 (2004)N°2073





IRIS DE HOLLANDE ou IRIS HOLLANDICA ou XIPHIUM
Ces Iris n'ont jamais poussé à l'état sauvage aux Pays-Bas. Par contre, ils sont le produit de travaux d'hybridation accomplis par une entreprise néerlandaise de sélection des plantes nommée Tubergen. Deux espèces ont joué un rôle majeur dans le développement de ces hybrides : l'I. xiphium et l'I. lusitanic. Pour réussir à les faire pousser, il importe de disposer d'un sol riche et bien drainé. On peut laisser les bulbes en terre si on le souhaite, mais ils risquent des maladies. Les fleurs ont 10 cm de diamètre, et les tiges qui les portent sont très robustes, qualité qui les rend très apte à servir de fleurs coupées. L'assortiment de couleurs est très vaste, et il inclut des variétés bicolores.


N°2074 (2004)




La monarde est une plante herbacée vivace de la famille des Lamiacées, cultivée comme plante condimentaire pour ses feuilles et ses fleurs.

Nom scientifique : Monarda didyma L., famille des Lamiacées (labiées).

Nom commun : monarde, thé d'Oswego, bergamote, mélisse d'or. al : Goldmelisse, en : bee balm, Oswego tea, it : monarda.

Le nom de « monarde » a été donné à cette plante en l'honneur du botaniste espagnol du XVIe siècle, Nicolas Monardes.
Plante herbacée vivace par la souche, de 80 à 90 cm de haut, à tige à section carrée typique des labiées. Feuilles opposées de forme ovale lancéolée. Les fleurs de couleur rouge écarlate sont groupées en verticilles à l'extrémité des tiges.
Plante originaire de l'est des États-Unis qui s'est naturalisée dans toute l'Amérique du Nord. Cultivée en Europe notamment.
Les feuilles fraîches ciselées peuvent servir comme condiment pour aromatiser crudités et salades. Les pétales des fleurs peuvent être aussi utilisées.

Les feuilles sèches de la monarde peuvent également être utilisées pour préparer des tisanes, ou des apéritifs avec du vin blanc. La monarde s'appelle aussi "thé de Pennsylvanie" ou "thé d' Oswego" (tribu indienne).
Chez les Amérindiens, les feuilles macérées dans l'huile servaient aux soins des cheveux. Elles contiennent un antiseptique, le thymol, et sont appliqués sur les boutons, inhalées contre le rhume, et infusées contre la nausée, les flatulences et l'insomnie.

Les feuilles de M. punctata apaisent les troubles digestifs.

N°2128 (2005)




Le Pavot bleu de l'Himalaya (Meconopsis betonicifolia) est une plante vivace de la famille des Papavéracées.
Taille : de 1m à 1,5 m de hauteur
Taille des fleurs : entre 10 et 20 cm de diamètre
Floraison : juin / juillet
Port : en rosette et hampe florale
Originaire des Gorges du Yarlung Zangbo, dans le sud-est du Tibet, le pavot bleu pousse à une altitude de 3120 à 4000 mètres.

Cette vivace est très capricieuse, elle peut devenir envahissante autant que disparaître du jour au lendemain si les conditions ne lui plaisent pas. Elle est appréciée par les escargots et limaces ... et sujette au mildiou.

N°2131 (2005)
Cette fleur est l'emblême des Jardins de Métis en Gaspésie au Québec.

La floraison au Québec s’étale approximativement sur un mois, de la fin juin jusqu’à la fin juillet. Elle atteint généralement son apogée les deux premières semaines de juillet.

Delphinium nuttallianum est une plante herbacée pérenne, toxique, de la famille des Ranunculaceae, originaire de l'ouest de l'Amérique du nord.

Cette plante ne présente qu'une seule tige non ramifiée, de 10 à 50 cm de haut généralement (mais pouvant dépasser 70 cm), à la base souvent rougeâtre. Cette tige est garnie de feuilles peu nombreuses et principalement réunies vers le bas de la plante.

Les feuilles, de 7,5 cm de largeur en moyenne, sont très arrondies et divisées en 7 à 25 lobes étroits pédalés, d'environ 6 ou 7 mm de largeur
La floraison survient entre mars et juin. La tige développe alors une grappe bilatérale de fleurs de couleur bleue ou bleue-violacée, tirant parfois sur le mauve.

Chaque fleur, de 2,5 cm de diamètre en moyenne, possède un calice constitué de 5 sépales bleus, striés de bleu sombre, de forme ovale. Le sépale situé le plus haut présente un éperon dirigé vers l'arrière de 1,5 à 2,5 cm de long. La corolle possède 4 pétales de couleur bleue, violacée ou blanche, avec des stries bleues sombres, d'environ 5 mm de long. Les deux pétales du haut forment un éperon, producteur de nectar, logé dans l'éperon formé par le sépale supérieur. Les deux pétales du bas présentent des poils blancs ou plus rarement jaunes
Cette plante pousse en terrain bien drainé, dans les clairières de forêts de résineux (notamment en association avec Pinus contorta ou Pinus ponderosa), sur les bords de rivière ou de prairie, ou dans les zones désertiques (notamment en association avec Artemisia tridentata).

Son aire de répartition se situe à l'ouest du continent nord-américain : elle va de la Colombie-Britannique (Canada) au nord de la Californie (États-Unis) et ne s'étend pas davantage vers l'est que le Colorado, le Nebraska, le Wyoming ou le Montana.

Elle pousse du niveau de la mer jusqu'à plus de 3 000 m d'altitude[
Delphinium nuttallianum est une espèce toxique pour les herbivores et les humains. La toxicité est due à divers alcaloïdes, notamment la delphinine et l'ajacine. Les symptômes de l'empoisonnement sont une sensation de brûlure sur les lèvres et dans la bouche, des vomissements et une diarrhée intenses, des spasmes et une faiblesse musculaire, un pouls faible et une paralysie des muscles respiratoires.

Son éperon nectarifère produit du nectar, au bénéfice notamment des oiseaux-mouches
Pied-d'alouette bicolore

N° (2006)

Saintpaulia est un genre botanique de la famille des Gesneriaceae.

N°2376a - N°2376b
La saintpaulia fut découverte en 1892, par le baron Walter Von Saint-Paul dans les montagnes d'Usambara en Tanzanie. C'est à ce moment que le nom de violette africaine ou violette du Cap lui fut donné, à cause de sa ressemblance avec la violette (viola). Par contre, son nom est la seule chose qu'elle partage avec les Viola issues de la famille des violacées.

Les plantes cultivées sont en générale des hybrides de Saintpaulia ionantha. Elles sont d'ailleurs très faciles à hybrider. Des milliers d'hybrides sont connus, ils se présentent sous diverses formes et couleur. La plupart des hybrides peuvent se reproduire par bouturage de feuille.

N°2376

Orchidées



N° - N° - N° - N°

N°

Magnifique ce post!

Je pourrais ajouter quelques photos que j'ai prises dans mon petit paradis?
En respectant la thématique bien sur.
Je suis dans les Laurentides et sa flore y est abondante.

Oui Jazz, et pourrai je reprendre tes photos pour les incruster à l'endroit voulu? En te citant bien sur.

Merci saintluc.
Tu réponds exactement à la question que je me posais: comment mettre une photo sans briser l'harmonie du poste.

Je mettrai les photos et tu pourras ensuite effacer le message après avoir inséré ailleurs ce que tu souhaite garder? (Tout comme ce message ci?)

Je fais le test.

J'ai mis ta 2è photo à sa place
Dis moi le nom des autres fleurs que je ne me plante pas.
J'ai ajouté en dessous de la photo: photo de Jazz sur la page une

Je te reviens avec les noms et d'autres photos.

Faut que j'aille travailler....

Bon courage
Nous avons tout notre temps, je ne pense pas que Ben Laden fasse sauter le fofo