Article de © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info. (copié-collé du site dreuz.info)



Israël vient de lancer un premier programme de trois ans, ambitieux et réaliste, pour le « sauvetage » de 42 000 juifs de France.

Lorsqu’on pense juif français et émigration, on pense immédiatement Israël. La réalité est différente. Des dizaines de milliers de Juifs ont déjà quitté la patrie des droits de l’homme. Mais ils sont partis principalement (dans l’ordre) pour le Canada, pour Londres, pour les Etats Unis, et enfin pour Israël (environ 3 000 par an, plus que des Etats Unis où la communauté est vingt fois plus importante).

On n’imagine pas que les juifs français allaient laisser leurs enfants se faire tirer comme des lapins par les néo-nazis de l’islam, ces chances pour la France, n’est ce pas ?

Et une profonde lame de fond, une irritation montante, a gagné la communauté juive depuis des années en raison du traitement systématiquement biaisé du conflit arabo-israélien par les médias français. Les Juifs, dont le cœur bat pour Israël, et qui sont habités d’un humanisme multi millénaire, ne se sont pas uniquement sentis traités comme des chiens par les journalistes, ils ont aussi et surtout réagi comme tout être humain face à la désinformation et au mensonge : par le dégoût que la liberté d’expression dans les médias soit réservée aux pro-palestiniens.

Puis il y a eu la violence de l’antisémitisme. Les agressions antisémites, de plus en plus nombreuses, toutes commises sans exception par des jeunes musulmans et des noirs d’origine africaine bénéficiant d’une insupportable mansuétude de la justice, ont culminé avec les abominations du jihadiste Mohammed Merah, se sont poursuivies avec le traitement ordurier des médias qui ont médiatisé la vie du criminel, sa famille, son enfance, ont fait disparaître le mobile des crimes : l’islam, et se sont terminées par les promesses si visiblement creuses du gouvernement.

Enfin, les jeunes juifs à l’esprit entrepreneur et créatif, les bâtisseurs qui ne se voient pas fonctionnaires d’une administration, ont trouvé à la sortie des études un tissu économique en lambeaux, un gouvernement qui n’aime pas les riches, qui punit ceux qui réussissent, et une société jalouse qui ne leur permet pas de jouir ouvertement du fruit de leur succès. « Vivons heureux vivons cachés » ne correspond plus à ce siècle.

Le gouvernement israélien a déterminé que pour faire venir les juifs français en Israël, il devait répondre à leurs demandes principales : l’emploi, le logement, et la qualité de l’éducation. Les juifs français, à l’instar de la population, habitués à être pris en charge par un Etat maman, ont une kit de survie moins complet que celui des émigrants en Israël venant d’autres pays.

Et comme l’économie d’Israël se porte bien depuis des années (alors que la manne des gisements de gaz commencent à peine à produire de sa richesse) le gouvernement a pu trouver les moyens de financer l’ambitieux programme.

Ainsi, Israël va reconnaitre l’équivalence des diplômes médicaux et des métiers comptables, et assister les patrons qui le souhaitent à transférer leurs entreprises en Israël.

Et les juifs français vont se voir garantir une place dans les meilleures écoles.

La stratégie est de créer une fenêtre d’opportunité de 3 ans pour les juifs de France par un message clair : venez en Israël maintenant que les conditions sont bonnes, car nous ne pourrons pas forcément vous garantir ces conditions dans le futur. 6 000 juifs sont attendus en 2014, 12 000 en 2015, et 24 000 en 2016.

Soit 42 000 français juifs que la France a trouvé plus astucieux de remplacer par 600 000 arabo-musulmans. Et puisque la décision a été prise par les brillantes élites, ne doutons pas de sa pertinence. Chacun voit midi à sa porte.

C'est incroyable qu'un tel programme de sauvetage s'avère nécessaire en parlant de juifs français, aujourd'hui. A lire cet article, on a l'impression d'être sous le Régime de Vichy

Quoi qu'il en soit , si les Juifs Français se sentent menacés en France , l'extrême droite n'y est pour rien , les Français (les vrais) , n'y sont pour rien .

Le responsable , le seul , c'est l' ISLAM .

Cette pseudo religion , en fait idéologie , se révèle telle qu'à ses débuts : consubstantiellement antijuive .

Les textes fondateurs de cette cochonnerie sont d'une clarté sans équivoque en ce qui concerne sa haine des Juifs : la Sira (hagiographie de Mahomerde) décrit minutieusement ce que le "Prophète" a infligé aux Juifs de Medine .
Nombre de hadiths sont clairs , comme celui-ci (Bokhari) : " le jour du Jugement , même les pierres diront : O musulman , un Juif se cache derrière moi ; TUE-LE !"

Nos populations immigrées , étrangères ou françaises "de papier" , effectuent de plus en plus fréquemment un retour aux sources ....

D'où la recrudescence des actes antisémites : pas besoin de dessin , non ?

Tu as entièrement raison Patricia !

La France est un pays qui déteste ceux qui réussissent et qui déteste les riches. D'ailleurs, on le voit au nombre d'exilés fiscaux! Il est impossible d'entreprendre quoi que ce soit dans un pays
qui pense que s'enrichir est mal, que les riches sont coupables de tout et qu'ils doivent être taxés à 75%. Comment prospérer dans un pays où il n'y a que des grèves et des mécontents?
C'est pour ça que je veux tenter ma chance au Québec. L'hiver y est certes rude mais le chômage en France l'est encore plus!

Je précise pour nos cousins français que le taux maximum d'imposition au fédéral est de 29% pour la tranche de revenu imposable dépassant 130,054$ et au Québec de 25.75% pour la tranche dépassant 100,00$. C'est beaucoup par rapport au reste de l'Amérique mais peu comparativement à certains pays d'Europe.

Pour ce qui est de nos traditions judéo-chrétienne, il en reste peu si ce n'est quelques personnes âgées dans les quelques églises dont la fabrique n'a pas fait faillite et des croix par-ci par là. On est loin du temps où les Frères des écoles chrétiennes contrôlaient le ministère de l'éducation et où on apprenait le petit catéchisme par-cœur.

Il est vrai comme le chante si bien Gilles Vigneault que Mon pays ce n'est pas un pays c'est l'hiver. On disait dans mon jeune temps, le Québec c'est l'hiver et le mois de juillet ! Trêve de plaisanteries. Nous avons nos quatre très belles saisons qui colore le paysage de mille feux. Bienvenue dans le Nouveau Monde

Merci beaucoup hyppolite. Je ne crois plus en la France, comme beaucoup de mes compatriotes. Jamais politique n'a été aussi catastrophique, les usines ferment les unes après les autres, et les employés
sont remerciés sans ménagement après des décenies de bons et loyaux services, sans plans de reclassement. Je ne peux pas me projeter dans un avenir serein ici. Je ne peux même pas contracter un crédit!

Je suis d'accord avec toi mais il faut attendre les prochaines présidentielles !

Peut être pas .

Les citoyens peuvent et doivent se faire entendre .

Des échéances électorales sont prévues pour cette année .

Si un raz de marée antisocialiste se fait jour au travers des votes, la position du Grand Benêt risque fort d'être à terme intenable .

Pour autant , il n'est pas souhaitable de redonner trop d'encouragements aux UMP , ces derniers ont trop montré leur soumission au "politiquement correct" , et aux remplacistes .

En dépit de son programme économique intenable , la seule personne qui semble vouloir défendre l'identité française , et c'est ni fine , malheureusement la PRIORITÉ DES PRIORITÉS, est MLP .

On n'a pas le choix ; c'est , je crois , une question de survie : il faut impérativement lui apporter nos voix .

S'il s'avère , qu'élue , elle ne respecte pas ses engagements , alors il ne nous restera plus que la révolte par les armes .

Je mesure parfaitement la gravité des propos que je tiens .

Je ne partage pas ton analyse du guesclin.
Marine Le Pen n'est pas la solution. Et les Français risqueraient d'être bien déçus car la politique du Front National est très pro-arabe en raison de sa haine, surtout, d'Israël.
De plus, son programme économique est complètement fou et laisse entrevoir un avenir très sombre.
Franchement je ne pense pas que cette solution en soit une.