Je croyais qu'on aurait un débat neutre mais Legault est arrivé en forme ce soir et Marois à été canné sur pratiquement tout les sujet, meme sur la santé.

Marois voulait se cantonné à la cassette mais Legault est arrivé avec des chiffres et à pris Pauline en défaut à plusieurs reprise notamment sur les redevance des mines (marois à lancé un chiffre au hasard sur les mines d'or australienne et malheureusement pour elle françois legault avait les chiffres précis), l'a pris en défaut dans ses chiffres autant dans la médecine que dans l'économie.
Dans l'histoire du référendum elles s'est carrément planté.

Quand pauline à fait le point avec les médias on pouvait voir qu'elle avait été personnellement ébranlé (avait peut être même pleuré), moins souriante que d'habitude elle avait encore les yeux humide et ça ce sentait légèrement dans sa voix, surtout au début.

Maintenant pourquoi c'est arrivé ?
Je crois que Pauline à abordé le débat comme une période de question à l'assemblé national et se fiait sur sa capacité à patiner, à esquiver, mais françois ne lui à pas laissé d'espace pour le faire. Il avait aussi changé de stratégie : il savait que Pauline ne respecte pas l'adversaire et défile sa cassette au complet avant de redonner la parole.... il s'est donc préparé à la cassette et la laissais pénétrer elle même dans le piège.

Je n'ai pas vu le débat, mais ton commentaire est un des premiers que je lis dans ce sens.

Le débat repasse demain il me semble, sais pas à quel heure, ça vaut la peine de l'écouter.

Au début ça à commencé comme une chicane de couple. Mais après ça à débloqué.

Les commentateurs journalistique parle "d'une victoire de legault" et les spinsdoctor du PQ d'une nulle (qu'elle surprise).... mais dans les prochains jours Pauline vas probablement être pris pour expliquer son affaire de consultation populaire contrôlé par les caribous du party au lieu de faire avancer sa campagne, c'est pas payant ça, selon Dumon Charest vas sauter sur l'aubaine et selon Lapierre le PQ vont devoir remanier leur cadre financier en catastrophe avant de le sortir, Legault à prouvé que ses chiffres ne marchaient pas.
Selon martinaux c'était tres risqué (me semble qu'il à dit le mot "suicide", pas certain) de se présenté face à Legault sans son cadre financier. En plus quand elle est arrivé pour critiquer le cadre financier de la CAQ on à appris que Legault à fait vérifier et signer son budget par une grosse pointure de la finance... Ça elle l'à pas vue venir, tout comme l’appui d'un autre médecin connu qui à dit qu'avec du support les docteurs pourraient prendre plus de patients... je pense que c'est vraiment à partir de là qu'elle à vraiment commencé à comprendre qu'il était mieux préparé qu'elle.

Quelqu'un (sais plus lequel, peut etre lapierre) à dit qu'il croyait qu'elle allait faire un communiqué de presse au lieu de se présenter devant les journalistes comme elle l'à fait après le débat. Je pense simplement qu'elle n'était pas en état d'organiser quoi que ce soit après s’être fait faire du "rentre dedans" à la fin avec l'histoire du 15% de consultation populaire. Probablement que c'était une idée improvisé comme ça à chaud que le PQ à ajouté rapidement pour remplir un peu plus leur plateforme électoral et faire plaisir aux pur et dur; jamais ils n'ont pensé, Pauline la première, que ça leur pèterait en pleine face comme-ça.

Québec 2012 | Marois c. Legault
Legault l’emporte
CA_MichelHebert
Michel Hébert @

Journal de Québec, Publié le: jeudi 23 août 2012, 24H03 | Mise à jour: jeudi 23 août 2012, 24H12
http://www.journaldequebec.com/2012/08/ ... t-lemporte



Legault part avec les meubles
CA_JeanJacquesSamson
Jean-Jacques Samson @

Journal de Québec, Publié le: mercredi 22 août 2012, 23H42 | Mise à jour: mercredi 22 août 2012, 23H44

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Deux personnalités radicalement opposées. Deux divorcés. Une collision frontale était à prévoir. Elle est survenue.

Violente, destructrice sur les plans personnel et politique. Ce fut sans doute la pire chicane politique publique entre « deux ex » des 50 dernières années. Même la confidentialité de conversations privées entre eux et de discussions au caucus, ont été violées.

À mon toujours très, très, très humble avis, François Legault sort gagnant.

Deux cheminements fort différents : une travailleuse sociale de formation et d’âme qui a ajouté un MBA à son CV et un comptable, homme d’affaires à succès. Deux options inverses sur l’avenir du Québec. Deux visions dos-à-dos sur les finances publiques, les politiques sociales et économiques, la fiscalité, la réingénierie de l’État, la fiscalité.

Le débat d’hier était déterminant : le partage du large vote de rejet du gouvernement Charest, donc de 70 % de l’électorat.

Pauline Marois plafonne à 33 % dans les intentions de vote depuis le 1er août alors que François Legault a grimpé de 21 % à 27 %, selon Léger Marketing. La donnée la plus significative dans le contexte du débat est toutefois que près de 40 % des répondants disaient pouvoir encore changer d’idée avant le 4 septembre.

Les lignes d’attaque de Pauline Marois étaient déjà connues. Je l’avais entendue les tester mardi dans une brasserie du centre-ville de Montréal. Son ex-collègue du Parti québécois plongerait le Québec dans le chaos en abolissant les commissions scolaires et les agences de la santé et des services sociaux, et en coupant 7 000 postes dans l’appareil étatique, dont 4 000 à Hydro-Québec.

Les deux partis se démarquent nettement par ailleurs, insiste-t-elle toujours : le Parti québécois est souverainiste et la CAQ est un parti fédéraliste. Le choix est donc bien tranché. Elle cherche ainsi à consolider son vote. Le pauvre François Legault terminera sans doute la campagne avec un trouble de la personnalité. Il est accusé un soir par Jean Charest d’être un souverainiste masqué et le lendemain, par Pauline

Marois, d’être un fédéraliste déguisé en nationaliste.

François Legault, de son côté, visait les déserteurs libéraux déçus de Jean Charest et les insatisfaits déter­minés à aller voter pour un changement majeur dans la gouvernance du Québec, qui espèrent aussi un allégement de leur fardeau fiscal, mais qui rejettent l’option de la souveraineté.

La gouvernance

On a déterré quelques squelettes des deux côtés et surenchéri sur les bonnes intentions pour l’avenir. Aucun n’y a gagné.

Politiques sociales

François Legault a bien campé Pauline Marois comme « la reine du statu quo » dans les très coûteuses structures étatiques actuelles, trop frileuse pour se lancer dans des changements majeurs, menottée par ses liens avec les grandes centrales syndicales.

L’économie

L’accusation de Pauline Parois au « comptable qui ne sait pas compter » ne m’accroche pas du tout. J’attends son cadre financier. Celui de François Legault a été monté en collaboration avec le très respecté groupe

Cirano. Sur le plan du nationalisme économique, ils se rejoignaient essentiellement sur le fond.

La souveraineté

La population n’en veut pas. François Legault non plus. Point. Mme Marois nous ramène au minimum à « égalité ou indépendance » de 1966 pour établir un nouveau rapport de force avec Ottawa ou, au pire, à un référendum appelé par ses militants. Quand on veut un réel rapport de force, on ne le télégraphie pas.

C'est quasi un KO.

Quebecor qui favorise la CAQ! Je ne me serais jamais attendu à ça.

En quoi la favorise-t-il ? En montrant une poignée d'étudiants manifester devant les studios de TVA pendant plusieurs minutes après les débats ? En montrant le départ, sous les applaudissements et les coups de klaxon de cesdits étudiants, de Marois ?

Marois s'est fait torcher en un contre un, point.

Oh wow, Québecor qui favorise la CAQ.

Pis quoi encore, Radio-Canada qui couche avec le PQ?

Là, Murray, j'ai bien peur que... Mais non, quelle langue sale je fais.

Toujours est-il que Rad-Can a sorti un lapin sur le PLQ, un lapin sur la CAQ, on attend toujours le lapin sur le PQ.

Peut-on appeler ça un journal sérieux?
Deux chroniqueurs mais exactement le même texte! Mot pour mot.
Une journée d'écart entre les deux.

Wake-up Quebecor...

Faut arrêter les théories du complot partout, mon Dan.

Je crains que daniela ne soit complètement à court d'arguments pour faire les choux gras d'une bête erreur de parution.