Sans vouloir te fexer Léo, tu as fait 38 pages pour pas grand chose...
Le Québec n'est rien sans le Canada. Surtout ne l'oublie pas, en racontant des choses pareilles.

Oups... ca fait 39 pages.

39 pages pour dire que le fédéral nous a bien eu, ce n'est pas rien.

Merci grandement Daniela,

C'est vrai que j'y crois en mon peuple et que je n'ai aucunement peur qu'il puisse être capable de faire un État convenable sur cette terre.

Je sais très bien que si on continue comme ça, que le Québec va finir par être un État comme la Louisiane, c'est-à-dire un endroit ou le fait français n'existe pour pratiquement plus et qui n'est qu'un folklore pour faire sourire seulement, je ne méprise pas ceux qui se battent pour que le fait français perdure en Louisiane, mais je ne fais que mentionner une réalité, que je voudrais dire triste, mais qui ne me regarde pas étant Québécois, mais auquel je sympathise.

Même les provinces Canadiennes dont le Manitoba, l'Ontario et le Nouveau-Brunswick s'en vont rapidement vers l'extinction du fait français. Surtout le Nouveau-Brunswick qui vient d'avoir comme cadeau empoisonné du gouvernement actuel d'Harper, la cessation du bilinguisme obligatoire de Service Canada auprès des Acadiens qui sont francophones de langue maternelle.

Si le Québec ne se prend pas en main pour devenir une nation c'est-à-dire un pays, ce ne sera qu'une question de quelques décennies pour que le peuple Québécois n'ait plus de pouvoir pour décider de son futur et conserver sa langue et sa culture.

Et je ne fais pas une guerre pour que le Québec ne parle pas anglais, mais qu'ils conservent son identité francophone qui lui est propre à lui de par sa situation géographique.

Voyons donc ! Le Canada et le Québec sont capables de vivre l'un sans l'autre. Cependant, ils sont plus forts unis... si seulement ils parvenaient à mieux s'entendre. Et il n'y a pas que le Canada qui est coupable, loin de là.

La louisianisation du Québec, on en est loin, mais c'est à nous d'être intransigeants sur la question linguistique, sans pour autant être intolérants.

Je l'ai dit et le répète: on doit se tenir debout en matière culturelle et linguistique à Ottawa, et si cela ne leur plaît pas, qu'ils nous foutent dehors. Mais économiquement, le Québec est archi-dépendant su Canada, du fait de sa vision grecque de l'économie.

Je pense sincèrement que le Québec comme le Canada, sans sortirais mieux s'ils n'étaient que voisins.

Moi non plus je ne fais pas la guerre à l'anglais. Ce serais difficile pour un prof d'anglais.

en parlant du fédéral, il vient de dégager 4,4 millions pour l'apprentissage des langues officielles au Canada. là-dessus, 17 des 22 programmes sont pour l'apprentissage de l'anglais au Québec. Ce sont des programmes distincts de ceux offert par le ministère des loisirs, du sport et de....l'éducation.

Pourquoi, Léolo, passer 39 pages à expliquer quelque chose qui s'explique par elle-même?

Parce que l'indépendance n'est pas pour quelque chose. Elle est une fin en soi.