Je suis d'accord avec toi sur ce point Kal: la base d'une discussion se fonde sur des généralités. Sinon, on ne pourrait plus discuter. On serait obligé de citer des sources et de prouver la véracité de nos dires, et ce serait très lourd, ça rendrait la conversation moins frivole.

Y-a-t-il une Québécoise pour me déclarer son amour? Prenez exemple sur Hal et Kal! Je vous offre un poème de ma composition pour vous inciter à me déclarer votre flamme! (Poème primé au festival de poésie de Sète"Les voix vives").



La Québécoise est une fleur,
Qui ne pousse que dans les coeurs,
Et s'offre en bouquets de senteurs
A qui saura cueillir son coeur.

La Québécoise est un parfum,
Qui nous enivre au p'tit matin,
Et qui fait chavirer les hommes,
Qui savent apprécier son arôme.

La Québécoise a un coeur d'ange,
Un coeur qui chante les louanges,
De l'Amour et des Amoureux,
Des amants et des bienheureux.

Son coeur est chaud comme la neige,
Et sait se fondre en un instant
A tous les délices du Printemps.

Et quand enfin arrive l'été,
Une Québécoise à ses côtés,
On fait fleurir le monde entier.

Pourtant..me semble que la définition Laroussienne explique bien ce que j'entends par ''généralité''

Voici la définition du dictionnaire:

''généralité


◾Caractère de ce qui est général ; universalité : Classer
les termes selon leur degré de généralité.
◾Le plus grand nombre, la grande majorité, la plupart : Dans la généralité des cas.
◾Propriété des énoncés quantifiés universellement.''

Voici l'essence de ce que je veux dire en parlant de généralités.

Par contre, concernant ta définition de généralité :'' Une généralité est une banalité, un lieu commun, ''

Je me rappelle avoir eu cette définition en tête dans le temps où j'écrivais(hé oui...cela est déjà arrivé...)

Mais maintenant , en recherchant sur le net, j'arrive pas à trouver une définition qui colle aussi avec cette affirmation...

M'enfin...je sais aussi que les termes changent avec le temps ...hélas...

Pardon cher ami, j'ai commis un lapsus lamentable, tu m'en vois toute contrite. Merci d'avoir bien voulu remettre sur les rails mon esprit égaré.

Veuilles accepter mes salutations les plus distinguées.

S'cuse mon ignorance mais quossé ça le Pal?

Mon âme peine à s'élever devant tant d'excellence,
Mes mots sont muets mais n'altèrent aucunement mes sens.
Laisse parler ta prose, et je ferais parler les roses.
Fais brûler le Soleil, et je serais cette étincelle.
Mon verbe ne fait pas de moi un Dieu,
Mais si, vous, les hommes, êtes le Ciel,
Je n'oublie pas que vous Mesdames, êtes mes cieux...