Fredy VS Henry
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Fredy VS Henry
Certaine personne veulent qu'on renomme le parc Henri bourassa en parc Fredy Villanueva...
Comparons les fait d'arme des deux hommes
Fredy Villanueva est un jeune criminel qui traîne avec d'autres crotté, un moment donne deux policiers leur demandent de circuler et fredy tente de s'emparer de l'arme de l'une des policiers. L'un des deux constable étant une femme pas trop laide on peut présumer de ses intention qui lui permettrai de se bâtir une réputation dans le milieux, mais voilà... il se fait tirer.
Henri Bourassa (né le 1er septembre 1868 à Montréal, mort le 31 août 1952 à Montréal) est un journaliste et homme politique québécois qui a agi tant sur les scènes canadienne que provinciale. Fondateur du quotidien Le Devoir, il est reconnu pour son désir d'émanciper le Canada de la tutelle britannique et sa défense des droits des Canadiens français.
Sommaire
Henri Bourassa voit le jour en 1868. Encore très jeune, Henri s'avère un lecteur avide et précoce. À 9 ans, il dévore l'Histoire de France d'Émile Keller et à 12 ans, il lit les dix tomes de l'Histoire d'Angleterre de Lingard.
Mort de Riel
En 1885, Henri entre à l'école polytechnique de Montréal. La même année marque l'avènement de la mort de Louis Riel et le jeune Bourassa se joint à la foule énorme qui envahit le Champ-de-Mars. Il est présent lorsque le Premier ministre du Québec, Honoré Mercier, prononce gravement ces mots désormais célèbres: "Notre frère Riel… est mort." Il entendra par la suite un autre orateur, Wilfrid Laurier, déclarer que la meilleure façon de réagir à cette injustice passe par le gouvernement fédéral et la constitution britannique et non pas par des appels aux passions canadiennes-françaises.
Bourassa étudie au Holy Cross College à Worcester, au Massachussetts. Il y apprend l'anglais. En 1887, alors âgé de 19 ans, il s'installe à Montebello pour assumer la responsabilité de la seigneurie familiale de "La Petite Nation". Cette propriété est dans la famille depuis 1801, elle a appartenu à son grand-père, Louis-Joseph Papineau, le célèbre chef patriote, mais Henri Bourassa ne s'en enorgueillit pas. Plutôt que de jouer aux grands seigneurs, il rencontre les paysans un à un afin de confirmer les contrats, il passe plusieurs nuits à la belle étoile en compagnie des bûcherons, il s'occupe de mettre sur pied une ferme modèle et une laiterie et il écoute les doléances des fermiers envers les grands marchands de bois et le gouvernement.
Les citoyens de Montebello trouvent en "Monsieur Henri" un homme dont l'intérêt pour leur bien-être est authentique. Ils l'élisent maire en 1890, alors qu'il n'a pourtant que 22 ans. Pendant son mandat, il acquiert la réputation d'un homme juste et brillant. Son souci des droits des minorités l'amène à fonder une école dite "séparée" à Montebello pour y accueillir les enfants des quatre familles protestantes de la seigneurie.
En 1892, Le Parti libéral de Wilfrid Laurier approche Henri Bourassa pour qu'il en devienne le candidat lors des élections prochaines. Il n'accepte aucune aide financière du parti et paiera lui-même pour sa campagne électorale. De plus, il se réserve le droit de prendre librement ses décisions même si celles-ci contreviennent à la discipline du parti.
En chambre, Henri Bourassa parle énergiquement en faveur d'une garantie constitutionnelle des droits des minorités pour assister les écoles séparées, mais il ne reçoit presque aucun appui. Interrompu à plusieurs reprises par des députés hostiles, Bourassa déclare: "Je sais que mes paroles tombent dans des oreilles de sourds." Il dira encore: "Si les gens du Québec sont parfois provincialistes, c'est parce que, à l'extérieur de leur province, ils sont privés de liberté, d'égalité et de plein respect."
Selon lui, le Canada doit affirmer son indépendance face à la Grande-Bretagne et s'affirmer face au géant américain. Une querelle politique apparaît bientôt et lui permet de faire valoir ses idées sur la question.
Henri Bourassa rêve d'un Canada qui ne plaît guère aux Libéraux et aux impérialistes anglais. Il rêve d'un pays bilingue fondé sur ses deux peuples fondateurs, l'anglais et le français, un pays dans lequel ces deux groupes posséderaient des droits et des statuts égaux, un pays débarrassé de l'impérialisme britannique. Bourassa écrit encore: "Il y a un patriotisme ontarien, un patriotisme québécois ou un patriotisme de l'Ouest… mais il n'y a pas de patriotisme canadien et nous ne pouvons pas avoir de nation canadienne quand nous n'avons pas de patriotisme canadien."
La guerre des Boers
Henri Bourassa ne voit pas comment quelques fermiers d'Afrique du Sud peuvent constituer une menace à l'Angleterre et encore moins au Canada. Il déclare que le Canada doit rester neutre dans le conflit, que les querelles des Anglais ne sont pas celles des Canadiens.
Bourassa devient porte-parole de la Ligue Nationaliste sans toutefois en être un membre actif.
Henri Bourassa, excellent orateur, devient l'idole de la jeunesse québécoise. Le Nationaliste, journal de la Ligue, et l'Association de la jeunesse canadienne-française lui servent de tribune pour exprimer ses idées et ses opinions sur les droits et devoirs des francophones du pays.
En 1904, Bourassa est réélu comme député indépendant du comté de Labelle. Il se lie d'amitié avec un autre député indépendant, Armand Lavergne. En 1905, il épouse sa cousine Joséphine Papineau. En 14 ans de vie commune, le couple aura huit enfants.
Au sujet de l'immigration, Bourassa écrit: "Je veux une immigration sélective qui fasse que nous ne serons pas submergés par les vagues de socialistes européens qui s'établissent dans l'Ouest et qui entraîne une diminution du pourcentage des personnes d'origine française dans la population totale. Il soutient également que le français et l'anglais doivent avoir un statut égal au Canada.
Dans ses discours, Bourassa condamne la politique de Laurier. À Saint-Eustache, ville qui avait été en 1837 le théâtre d'une défaite importante des Patriotes, il déclare devant une foule de 8000 personnes que Laurier a trahi les Canadiens-français en créant une marine de guerre qui les obligera à aller mourir dans des guerres qui ne concernent aucunement le Canada. Ces principes qu'on appellera désormais les Résolutions de Saint-Eustache s'opposent à l'engagement du Canada dans toute guerre étrangère qui ne le concerne pas directement.
ET CE TEXTE NE REPRÉSENTE MEME PAS LA MOITIÉ DES FAITS D'ARMES D'HENRI BOURASSA !!!!
Comparons les fait d'arme des deux hommes
Fredy Villanueva est un jeune criminel qui traîne avec d'autres crotté, un moment donne deux policiers leur demandent de circuler et fredy tente de s'emparer de l'arme de l'une des policiers. L'un des deux constable étant une femme pas trop laide on peut présumer de ses intention qui lui permettrai de se bâtir une réputation dans le milieux, mais voilà... il se fait tirer.
Henri Bourassa (né le 1er septembre 1868 à Montréal, mort le 31 août 1952 à Montréal) est un journaliste et homme politique québécois qui a agi tant sur les scènes canadienne que provinciale. Fondateur du quotidien Le Devoir, il est reconnu pour son désir d'émanciper le Canada de la tutelle britannique et sa défense des droits des Canadiens français.
Sommaire
Henri Bourassa voit le jour en 1868. Encore très jeune, Henri s'avère un lecteur avide et précoce. À 9 ans, il dévore l'Histoire de France d'Émile Keller et à 12 ans, il lit les dix tomes de l'Histoire d'Angleterre de Lingard.
Mort de Riel
En 1885, Henri entre à l'école polytechnique de Montréal. La même année marque l'avènement de la mort de Louis Riel et le jeune Bourassa se joint à la foule énorme qui envahit le Champ-de-Mars. Il est présent lorsque le Premier ministre du Québec, Honoré Mercier, prononce gravement ces mots désormais célèbres: "Notre frère Riel… est mort." Il entendra par la suite un autre orateur, Wilfrid Laurier, déclarer que la meilleure façon de réagir à cette injustice passe par le gouvernement fédéral et la constitution britannique et non pas par des appels aux passions canadiennes-françaises.
Bourassa étudie au Holy Cross College à Worcester, au Massachussetts. Il y apprend l'anglais. En 1887, alors âgé de 19 ans, il s'installe à Montebello pour assumer la responsabilité de la seigneurie familiale de "La Petite Nation". Cette propriété est dans la famille depuis 1801, elle a appartenu à son grand-père, Louis-Joseph Papineau, le célèbre chef patriote, mais Henri Bourassa ne s'en enorgueillit pas. Plutôt que de jouer aux grands seigneurs, il rencontre les paysans un à un afin de confirmer les contrats, il passe plusieurs nuits à la belle étoile en compagnie des bûcherons, il s'occupe de mettre sur pied une ferme modèle et une laiterie et il écoute les doléances des fermiers envers les grands marchands de bois et le gouvernement.
Les citoyens de Montebello trouvent en "Monsieur Henri" un homme dont l'intérêt pour leur bien-être est authentique. Ils l'élisent maire en 1890, alors qu'il n'a pourtant que 22 ans. Pendant son mandat, il acquiert la réputation d'un homme juste et brillant. Son souci des droits des minorités l'amène à fonder une école dite "séparée" à Montebello pour y accueillir les enfants des quatre familles protestantes de la seigneurie.
En 1892, Le Parti libéral de Wilfrid Laurier approche Henri Bourassa pour qu'il en devienne le candidat lors des élections prochaines. Il n'accepte aucune aide financière du parti et paiera lui-même pour sa campagne électorale. De plus, il se réserve le droit de prendre librement ses décisions même si celles-ci contreviennent à la discipline du parti.
En chambre, Henri Bourassa parle énergiquement en faveur d'une garantie constitutionnelle des droits des minorités pour assister les écoles séparées, mais il ne reçoit presque aucun appui. Interrompu à plusieurs reprises par des députés hostiles, Bourassa déclare: "Je sais que mes paroles tombent dans des oreilles de sourds." Il dira encore: "Si les gens du Québec sont parfois provincialistes, c'est parce que, à l'extérieur de leur province, ils sont privés de liberté, d'égalité et de plein respect."
Selon lui, le Canada doit affirmer son indépendance face à la Grande-Bretagne et s'affirmer face au géant américain. Une querelle politique apparaît bientôt et lui permet de faire valoir ses idées sur la question.
Henri Bourassa rêve d'un Canada qui ne plaît guère aux Libéraux et aux impérialistes anglais. Il rêve d'un pays bilingue fondé sur ses deux peuples fondateurs, l'anglais et le français, un pays dans lequel ces deux groupes posséderaient des droits et des statuts égaux, un pays débarrassé de l'impérialisme britannique. Bourassa écrit encore: "Il y a un patriotisme ontarien, un patriotisme québécois ou un patriotisme de l'Ouest… mais il n'y a pas de patriotisme canadien et nous ne pouvons pas avoir de nation canadienne quand nous n'avons pas de patriotisme canadien."
La guerre des Boers
Henri Bourassa ne voit pas comment quelques fermiers d'Afrique du Sud peuvent constituer une menace à l'Angleterre et encore moins au Canada. Il déclare que le Canada doit rester neutre dans le conflit, que les querelles des Anglais ne sont pas celles des Canadiens.
Bourassa devient porte-parole de la Ligue Nationaliste sans toutefois en être un membre actif.
Henri Bourassa, excellent orateur, devient l'idole de la jeunesse québécoise. Le Nationaliste, journal de la Ligue, et l'Association de la jeunesse canadienne-française lui servent de tribune pour exprimer ses idées et ses opinions sur les droits et devoirs des francophones du pays.
En 1904, Bourassa est réélu comme député indépendant du comté de Labelle. Il se lie d'amitié avec un autre député indépendant, Armand Lavergne. En 1905, il épouse sa cousine Joséphine Papineau. En 14 ans de vie commune, le couple aura huit enfants.
Au sujet de l'immigration, Bourassa écrit: "Je veux une immigration sélective qui fasse que nous ne serons pas submergés par les vagues de socialistes européens qui s'établissent dans l'Ouest et qui entraîne une diminution du pourcentage des personnes d'origine française dans la population totale. Il soutient également que le français et l'anglais doivent avoir un statut égal au Canada.
Dans ses discours, Bourassa condamne la politique de Laurier. À Saint-Eustache, ville qui avait été en 1837 le théâtre d'une défaite importante des Patriotes, il déclare devant une foule de 8000 personnes que Laurier a trahi les Canadiens-français en créant une marine de guerre qui les obligera à aller mourir dans des guerres qui ne concernent aucunement le Canada. Ces principes qu'on appellera désormais les Résolutions de Saint-Eustache s'opposent à l'engagement du Canada dans toute guerre étrangère qui ne le concerne pas directement.
ET CE TEXTE NE REPRÉSENTE MEME PAS LA MOITIÉ DES FAITS D'ARMES D'HENRI BOURASSA !!!!
"La peur n'est pas réelle, c'est une production intellectuelle, le fruit de ton imagination. Attention comprends-moi bien, le danger est peut etre bien réel... mais avoir peur est un choix !"
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Re: Fredy VS Henry
Je ne sais pas si ce Fredy était vraiment le criminel que tu décris dans ton message, mais quoi qu'il en soit se faire tuer par la police parce qu'on a commis l'erreur de leurs sauter dans la face n'est pas une raison justifiée pour qu'on renomme un parc ou une rue à sa mémoire.
Même une plaque serait injustifiée.
Sinon va t-on renommer la rue St-Denis du nom du cycliste qui a prit une balle perdue en allant travailler ?
Ou la rue Adam, du nom du jeune garçon qui est mort dans l'explosion d'une Jeep au court de la guerre des motards ?
Même une plaque serait injustifiée.
Sinon va t-on renommer la rue St-Denis du nom du cycliste qui a prit une balle perdue en allant travailler ?
Ou la rue Adam, du nom du jeune garçon qui est mort dans l'explosion d'une Jeep au court de la guerre des motards ?
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Re: Fredy VS Henry
Mais il faut comprendre que Fredy et Dany Villanueva, maybe la soeur aussi, ont foundé un gang de rue et cela semble être extremement important pour cette famille Villanueva et pour beaucoup de monde de Montréal Nord, donc, Fredy et Dany sont extrememant importants tous les deux, peut être que pour la mère Villanueva, qui ne connaisse pas Henry-Bourassa, est très important la fundation qu'on fait ses deux enfants ou les trois, il faut s'informer.
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Re: Fredy VS Henry
le petit Vil-anueva est mort de sa propre stupidité et de celle de de son frère. C'est une sorte de sélection naturelle et saine qui nous débarrasse des indésirables.lam129 a écrit :.. se faire tuer par la police parce qu'on a commis l'erreur de leurs sauter dans la face ..
Polémix
[color=blue][b][url=http://www.canadalibre.ca]Canada Libre[/url] - Nos racines les plus profondes nourrissent nos fruits les plus beaux.[/b][/color]
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Re: Fredy VS Henry
C'est crû mais c'est vrai...Polémix a écrit :le petit Vil-anueva est mort de sa propre stupidité et de celle de de son frère. C'est une sorte de sélection naturelle et saine qui nous débarrasse des indésirables.lam129 a écrit :.. se faire tuer par la police parce qu'on a commis l'erreur de leurs sauter dans la face ..
Qu'on s'affaire plutôt à expulser du pays son délinquant de frère ! Le Canada, ce n'est pas l'Arche de Noé, on ne peut pas accueillir toute la misère du Monde, surtout pas à nos frais en plus !
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Re: Fredy VS Henry
Le Québec n'a pas besoin des petits truands comme les Villanueva. Qu'ils retournent chez eux commettre leurs petits délits. On verra si la justice est aussi clémente avec les délinquants dans leurs pays d'origine.
Il est temps que le Québec mette ses culottes avec les ressortissants criminels des autres pays.
Il est temps que le Québec mette ses culottes avec les ressortissants criminels des autres pays.
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Depuis six mille ans, la guerre
Plaît aux peuples querelleurs,
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George Clémenceau
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Re: Fredy VS Henry
Au lieu de mettre ses culottes, il parle de nommer un parc en leur honneur... Le monde à l'envers.InspecteurSpecteur a écrit :Le Québec n'a pas besoin des petits truands comme les Villanueva. Qu'ils retournent chez eux commettre leurs petits délits. On verra si la justice est aussi clémente avec les délinquants dans leurs pays d'origine.
Il est temps que le Québec mette ses culottes avec les ressortissants criminels des autres pays.
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Re: Fredy VS Henry
Qui parle de nommer le parc en son honneur?
D'autres qui ne respactent pas les lois? D'autres qui jugent que la police est un mal nécéssaire? D'autres qui profitent des largesses de notre pays pour faire ici les délits qu'ils ne pouvaient faire dans leurs pays d'origine?
D'autres qui ne respactent pas les lois? D'autres qui jugent que la police est un mal nécéssaire? D'autres qui profitent des largesses de notre pays pour faire ici les délits qu'ils ne pouvaient faire dans leurs pays d'origine?
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Re: Fredy VS Henry
C'est vrai, c'est la mère (pauvre femme, elle est gréée d'enfants) et quelques illuminés qui parlent de ça.
Comme on dit, ils font du millage sur ce fait divers. Si ce voyou avait obéi aux policiers qui l'interpellaient, il serait sûrement au Honduras aujourd'hui, avec son voyou de frère qui abuse de la renommée de Fredy pour apitoyer l'opinion publique et Immigration Canada, tout en continuant de commettre des méfaits en émargeant du BS...
Comme on dit, ils font du millage sur ce fait divers. Si ce voyou avait obéi aux policiers qui l'interpellaient, il serait sûrement au Honduras aujourd'hui, avec son voyou de frère qui abuse de la renommée de Fredy pour apitoyer l'opinion publique et Immigration Canada, tout en continuant de commettre des méfaits en émargeant du BS...
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Re: Fredy VS Henry
Inutile de tant en mettre ça ne se fera pas. Il n'y a pas un politicien qui accepte de défendre cette proposition.
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Re: Fredy VS Henry
Si Khadir n'embarque même pas, cela en dit long sur la débilité de la demande...lam129 a écrit :Inutile de tant en mettre ça ne se fera pas. Il n'y a pas un politicien qui accepte de défendre cette proposition.
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