Myna a écrit :Oh.. mais je préfère moi aussi me faire *tripoter * par un homme .. que de le faire par moi même..
Mais ce que je voulais dire .. c'est que c'est bien aussi quand nous même savons ou est le point G .. et tout autre source de jouissance.. de notre corps ..
Myna a écrit :Prêts .. partez .. car il existe vraiment ce mystérieux point G
L'existence du point G a été avancée pour la première fois en 1950 par le Dr Ernest Gräfenberg. Il s'agit d'une zone érogène d'extrême sensibilité. Stimulée, elle permet d'obtenir une grande excitation sexuelle et un plaisir intense.
Je trouve qu'il est important que l'homme attache de l'importance à la femme et vis versa. Si les hommes ne se donnent pas la peine de chercher le poing G alors je crois qu'il faut peut être se poser des questions.
Myna a écrit :Prêts .. partez .. car il existe vraiment ce mystérieux point G
L'existence du point G a été avancée pour la première fois en 1950 par le Dr Ernest Gräfenberg. Il s'agit d'une zone érogène d'extrême sensibilité. Stimulée, elle permet d'obtenir une grande excitation sexuelle et un plaisir intense.
Je trouve qu'il est important que l'homme attache de l'importance à la femme et vis versa. Si les hommes ne se donnent pas la peine de chercher le poing G alors je crois qu'il faut peut être se poser des questions.
Des questions, les femmes doivent s'en poser, car les hommes qui prennent le temps de chercher le poing G de leur femme ne sont pas nombreux. Y a toujours des exceptions, mais disons que je n'ai jamais rencontré un homme disant : Allez chérie, ce soir, je te bichonne ! Viens que je cherche et trouve ton point G.
Si vous en connaissez un, laissez-le moi savoir... ça pourrait être intéressant !
Myna a écrit :[…] il existe vraiment ce mystérieux point G
Selon cet article du Guardian Adam Ostrzenski n'a rien prouvé…
While Ostrzenski continues his investigations, his peers remain sceptical. After all, a recent review of G-spot research published since 1950 concluded that all had "failed to provide strong and consistent evidence for the existence of an anatomical site related to the G-spot".
La sexualité féminine ne serait pas aussi « simple » et localisée que certaines recherches prétendent le montrer et Adam Ostrzenski, est un cosmetic gynaecologist, il est donc difficile d'évaluer sa crédibilité scientifique. Quoi qu'il en soit, je pense qu'il vaut la peine de lire l'article.