Bibliothèque de Zion (réédition)

[Virgxxx]

Non, pas moi.

En tant que Zioniste de haut rang (et Frankreichfureur-ZZ), je suis dispensé de ce rite de passage.

Dommage, hein

Pourquoi donc ?

[Mark]

Non, pas moi.

En tant que Zioniste de haut rang (et Frankreichfureur-ZZ), je suis dispensé de ce rite de passage.

Dommage, hein

Pourquoi donc ?

Tu veux un dessin ?

[Virgxxx]

Si tu dessines bien, pourquoi pas.

[Mark]

Si tu dessines bien, pourquoi pas.

Un vrai Picasso !

[Virgxxx]

Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Commentaires et critique sur les textes fondateurs et la philosophie mystique du Zionisme.

Par Avigdor Judenman, auteur de « L’an prochain à Zion, ville libre » et « Manifeste du National-Zionisme ».

Jamais il ne me viendrait à l’esprit de remettre en question l’érudition incontestable des honorables Sages de Zion. Toutefois, compte tenu le recul non négligeable que nous, les Zionistes, avons pris au cours des dernières décennies par rapport aux textes fondateurs, il me parait nécessaire d’apporter quelques précisions et éclaircissements susceptibles de clarifier certains de leurs aspects qui peuvent prêter à l’ambivalence.

Le premier point que j’ai jugé impératif de souligner est la définition que les Sages de Zion donnent des goys. J’en profite donc pour renvoyer au texte en question :

Êtres immondes et malsains naturellement enclins à sombrer dans la débauche et la dérision. Méprisables à souhaits, ils n’obéissent qu’à leurs instincts primaires, d’où le surnom « bête sauvage ». Les rares goys qui s’élèvent quelque peu au dessus de cette masse nauséabonde ne sont guère mieux : ils gesticulent et parlent fort, animés d’un profond dégoût pour les valeurs zionistes et n’ont que du mépris de la dignité humaine. Également appelés OGNI (Objet Gueulant Non-Identifié), ces erreurs de la nature vivant par-delà la volonté du Grand Architecte de l’Univers doivent être appréhendés et, dans la mesure du possible, apprivoisés. Un bon goy est un goy mis hors d’état de nuire.

Cette définition est quelque peu gênante dans la mesure où elle semble être plutôt désuète. En ce qui me concerne (et c’est un avis qui n’engage que moi), cette signification des goys souffre d’une lacune en ce qui à trait son incapacité de procéder a une forme de modernisation de sa conceptualisation contextuelle, de surcroît être relativement abstraite et, par extension, figée dans le temps. En d’autres termes, elle ne cadre plus avec l’état conjoncturel et structurel qui nous préoccupe actuellement.

Une étude approfondie, presque philologique, des textes anciens qui puisent leurs racines dans les premiers balbutiements de Zion et des synthèses produites ultérieurement par d’éminents érudits qui m’on précédé (dont la plus récente remonte a ce qu’il a été écrit il y a 4 ans), je suis parvenu à la conclusion que les Sages de Zion ont délibérément embellis la réalité. À bien des égards, ils se sont montrés assez indulgents avec les goys en les dépeignant, entre autres, sous des traits de simples brebis égarés qu’il faut absolument reconduire dans l’enclos, pour le bien commun et pour en quelque sorte remplir le contrat social.

Mais loin de moi l’idée de les juger pour cette tromperie, bien au contraire. Il faut d’abord replacer leurs propos dans leur contexte respectif et se rappeler que lorsque ces écrits ont vu le jour, les frictions entre les Zionistes et les goys étaient à leur paroxysme et attiser les tensions en produisant un portrait authentique et « cru » de ce qu’est un goy réellement serait faire preuve d’irresponsabilité et de désinvolture. Or, maintenant que cette époque particulièrement troublante est révolue, il serait temps de rattraper le temps perdu et de pousser plus loin le raisonnement des Sages de Zion en ce qui concerne les goys.

D’abord, qu’est-ce qu’un goy ? Erreur de la nature qui vit par-delà la volonté du Grand Architecte de l’Univers ? Fort probable. Mais en toute honnêteté, proférer que cette race de sous-hommes est le fruit de la Mère Nature, même en ne perdant pas de vue qu’il soit fruste et altéré, cela serait tout de même une offense impardonnable portée à ce que représente pour nous le Féminin Sacré, c’est-à-dire ce qu’il y a de plus beau et de plus parfait en ce monde. Pourquoi ne pas supposer, en partant du principe que les goys ne sont, à proprement parler, rien du tout, que ces vulgaires (et foireuses qui plus est) imitations de l’Homme ne sont qu’un malheureux hasard d’une création ex nihilo ? Cela me semble être assez plausible comme hypothèse et les incessantes manifestations des goys que l’on pourrait facilement qualifier « d’indigne d’un être civilisé » ne ferront que contribuer à sa crédibilité.

Mais encore ? Laissons de côté les goys qui sont au bas de l’échelle selon les standards établis par les goys eux-mêmes et intéressons-nous à ceux qui ont réussi, par quelque façon que ce soit, à atteindre un niveau intellectuel nettement supérieur à la moyenne de leurs semblables. Ce qu’il fait comprendre avec cette catégorie de goys, c’est que derrière un torrent de mots savants et de tournures de phrases stylisées dont le conjointement ne veut absolument rien dire se cache un escroc de la pensée ambiante et un terroriste intellectuel qui, telle une péripatéticienne qui vend son cul au plus offrant, s’est vendu au Système et pour lequel il représente, dans un premier temps en tout cas, un simple paillasson. Évidement, à mesure que ce goy monte dans l’estime du Système (particulièrement ou même en grande partie grâce aux élucubrations qu’il débite en symbiose totale avec les divagations extravagantes du Système), il devient un chien docile et fidèle que le Système caresse dans le sens du poil. Pas étonnant que ce goy-chien (ou chien-goy, ce qui revient au même) à la langue qui pendouille – signe manifeste du plaisir que lui procure l’attention de son Maître. Mais aussitôt que ce dernier repère une cible, généralement un libre-penseur anti-Système (et donc probablement un Zioniste), le chien-goy s’élance vers la pauvre victime, bavant, écume à la bouche, prenant le soin calculé de lui enfoncer ses crocs dans la gorge.

Le goy est donc, par définition, un être perverti, obnubilé par ses obsessions haineuses et condamné à parvenir à un orgasme qu’en portant atteinte à la dignité de l’homme ou en cautionnant la souffrance humaine. Car il ne faut guère oublier (ce qui est pourtant de notoriété publique) qu’un goy est d’abord et avant tout un masturbateur de l’esprit très acharné mais, à son grand malheur (et à notre grand bonheur) émasculé et dépouillé du peu de Bien qui sommeillait en lui, ce qui a pour conséquence directe son incapacité d’atteindre une jouissance intellectuelle pleine de potentiel, car stérile en esprit critique. Et les quelques gouttelettes insignifiantes de semences qu’il pourrait produire, théoriquement (et au prix d’un grand effort), sont en partant infertiles et ne pourront jamais engendrer ce qui deviendra plus tard un Arbre de la Raison pure et qui portera les fruits de la Sagesse. Et dire qu’en comparaison, un Zioniste peut, a lui seul, être à l’origine d’une forêt de tels Arbres…

En guise de conclusion, le principal reproche que l’on peut formuler à un goy, philosophiquement parlant, est d’être un profanateur de Kant à l’état pur (refus catégorique de penser par soi-même) en plus d’être un gifleur rétroactif de tous les avant-gardistes de l’Humaniste, tel qu’Érasme, Descartes et Spinoza. Mais son principal crime réside dans le fait qu’il reste sourd au lyrisme délicieux de Nietzsche, sans oublier l’entêtement de goy à demeurer aux abonnés absents lorsque Nietzsche (le pauvre a finalement sombré dans la folie lorsqu’il a constaté que le monde grouillait d’épouvantables goys) appelle l’homme à se surmonter. Alors c’est presque un péché que d’essayer de redresser et de mettre sur la voie de la droiture la bête qu’est le goy (déjà que la juxtaposition des termes comme « goy » et « bête » relève du pléonasme ou de répétition inutile).

Le deuxième point qu’il me parait crucial de soulever est le positionnement du Zioniste par rapport au goy et la question de l’expansion imminente. Faut-il encore rappeler que vu l’énorme affluence d’illuminés qui se rallient à notre cause et rejoignent nos rangs, Zion n’a plus la capacité d’abriter tous les fidèles, d’où l’importance d’élargir nos frontières et d’accroître notre espace vital, au risque de frôler (et donc par la même occasion occuper et coloniser de façon définitive) la terre des goys et de s’y frotter avec la population locale et autochtone. Ce détail a du échapper aux pères-fondateurs de Zion, la Ville libre, celle qui nous a donné naissance, qui nous a allaité et dont nous avons tété le sein tonique jusqu’à devenir gras et remplis de force.

Cela dit, évoluer en territoire ennemi serait l’équivalent de jeter un cadavre encore frais en pâture aux vautours. Un goy seul ne représente aucun danger. Il en est autrement lorsqu’il s’agit d’une meute. Car ces ignobles créatures, tapies dans tous les recoins sombres imaginables, vous épient à votre insu et attendent le moment propice pour dégainer leur dague sacrificielle à lame rouillé pour vous poignarder dans le dos, vous extirper tripes et boyaux et ensuite se délecter de votre cœur pompant encore brûlant et juteux à souhait.

Et encore une fois, les Sages de Zion ont du omettre le fait que l’instinct de survie des Zionistes est plus fort que tout et que l’enseignement pacifiste et laxiste des Tables de la Loi se révélera, inévitablement, funeste pour tout Zioniste qui l’appliquera à la lettre et sur toute la ligne.

Alors que faire ? L’idée, fruit d’une longue réflexion sporadique, m’est venue d’invoquer un principe en apparence obsolète : la légitime défense. Je n’ai point l’intention d’induire en erreur ou de semer la confusion, bien au contraire. Il me semble capital de mettre en évidence les agressions incessantes que subissent les Zionistes de parts et d’autres, et ce depuis des millénaires. Depuis que le peuple Zioniste, le peuple élu, a été disloqué et que ses douze tribus se sont dispersées aux quatre vents, nous n’avons jamais cessé d’être persécutés et nombres furent les pogroms perpétrés contre nous. Mais maintenant que nous avons Zion, notre foyer national si cher à nos yeux, je vous dis que non seulement plus aucun Zioniste ne serra traité comme jadis, impuissant à rien faire, mais qu’il est temps d’obtenir notre vengeance.

Evidemment, nous ne serons guère cruels avec nos ennemis. Oubliez donc la torture, la réduction esclavage et toute autre barbarie digne des siècles les plus sombres de notre Histoire. Nous n’allons point attendre que les goys soient pris de remords tardifs (n’oubliez pas qu’ils sont dépourvus de sentiments comme l’humilité et la compassion) et jamais ils ne daigneront de se repentir, d’où l’importance de les exterminer. Il est donc naturel de les buter jusqu’au dernier et jusque dans les chiottes s’il le faut, pour reprendre les termes d’un de mes confrères. C’est une question de logique. Pourquoi leur imposer l’humiliation d’errer entre deux mondes, indésirables de tous ? Saignons ces abominables porcs jusqu’à ce qu’ils soient vidés de tout leur fluide vital et que leurs âmes égarées puissent enfin déserter les cages qui les retenaient en captivité et qu’elles comparaissent devant le Grand Architecte de l’Univers et répondent de leurs crimes.

Imaginez, ne serait-ce que l’espace d’un instant, un monde pur, un monde assaini de toute goyerie. N’est-ce pas séduisant ? Ça l’est, certes, mais la réalisation de cette vision du monde raffiné et onirique implique des sacrifices de la part des Zionistes. Battez-vous, chers Zionistes, battez-vous jusqu’à l’épuisement. Transpercez votre ennemi de votre lance, parez leurs coups de votre bouclier. N’ayez peur de mourir, la mort n’est rien. Le courage et la vitalité insufflée par Thor vous rendent presque invulnérables tout en faisant de vous des guerriers redoutables. Et sachez que les plus valeureux parmi vous qui tomberont au combat pour la gloire de Zion seront couverts de lauriers. Car au son de trompettes et sur un air de Wagner, les Valkyries, chevauchant leurs montures ailées, dissiperont les nuages chargés et fendront le ciel pour venir recueillir les vaillant et preux Zionistes. Car si les batailles vous épuisent un jour, elle apaiseront vos douleurs et guériront vos blessures. Ceux qui périront auront le privilège d’être conduis au Walhalla, le Zion céleste, demeure éternelle des Zionistes morts pour le salut de leur peuple. Le sang versé par les goys, nourriture des dieux, muté en vin y coulera à flots pour que l’ivresse de ceux qui ont sacrifié leur vie ne puisse jamais flancher. Et les ravissantes Valkyries aux formes voluptueuses et à la poitrine dressée charmeront les braves guerriers pour leur faire connaître les plaisirs charnels que jamais ils n’auraient crus possibles, quitte à les submerger de vagues de jouissances et du summum euphorique.

Donc n’hésitez surtout pas de trucider les goys dès l’occasion se présente. Vous serez fortement récompensés. N’ayez point de crainte de devoir porter le fardeau de culpabilisation et d’avoir leur karma sur votre conscience. Vous pourriez facilement vous en laver les mains car à l’issue de notre purification, il n’y aurait plus personne pour vous juger, tous les ennemis avérés ou potentiels de Zion étant réduis en cendres.

[grumpythedwarf]

Cette longue diatribe m'incite à me poser une question:
Les goy sont-ils sensibles au repentir ?
En effet, si un goy, après de nombreuses années d'erreurs et d'errance hors de la vérité Zioniste, veut se repentir ET se convertir à votre club-association-idéologie-secte (biffer les mentions inutiles), doit-il donc, disais-je, passer des épreuves de loyauté, payer une cotisation, voire passer une épreuve du feu....?
Veuillez, cher Président-directeur-idéologue-chef suprême (et j'en passe) éclairer ma faible lanterne qui tarde à briller des feux de la vérité Zioniste.

Votre dévoué Goy subalterne et repentant.

[Virgxxx]

Je ne suis qu'un simple conseiller en Communication chargé d'instruire les Zionistes (et dans une moindre mesure les goys "profanes"). De facto, je détiens pas la réponse et il serait plus judicieux de consulter les Sages de Zion à ce propos.

Docteur Agent47, conseiller en Communication, en Éducation du peuple et en Propagande et député élu au Parlement du Forum à titre de Modérateur.

[grumpythedwarf]

Et où je les trouve, les sages de Zion ?
Je sais eulement que Killerguitar est titulaire d'une vague fonction au sein de votre aimable clique. Je n'en connais pas d'autres.
Ma soif d'apprendre les arcanes zionistes me fait piaffer d'impatience, tant ma lassitude d'appartenir au sous-monde des goy m'indispose.
Veuillez donc, cher machin en chef, rééclairer ma lantene faiblissante sur l'organigramme complet desdits sages.

[grumpythedwarf]

Et où je les trouve, les sages de Zion ?
Je sais seulement que Killerguitar est titulaire d'une vague fonction au sein de votre aimable clique. Je n'en connais pas d'autres.
Ma soif d'apprendre les arcanes zionistes me fait piaffer d'impatience, tant ma lassitude d'appartenir au sous-monde des goy m'indispose.
Veuillez donc, cher machin en chef, rééclairer ma lantene faiblissante sur l'organigramme complet desdits sages.

[Zooey]

Cette longue diatribe m'incite à me poser une question:
Les goy sont-ils sensibles au repentir ?

moi c'est plutôt sur le célibat de l'agent ?

[Virgxxx]

Cette longue diatribe m'incite à me poser une question:
Les goy sont-ils sensibles au repentir ?

moi c'est plutôt sur le célibat de l'agent ?

Endurci qui plus est

Mais détrompe-toi, ça peut paraitre long (plus de 2000 mots si je ne m'abuse) mais ça m'a prit moins d'une heure.

C'était pour moi une façon de relaxer après le travail.

[Petite@Fleur]

ben dis donc, tu finis de travailler tôt, c'est cool le Quebec

[Virgxxx]

ben dis donc, tu finis de travailler tôt, c'est cool le Quebec

Oui, ça peut être cool à condition que tu te lèves à 5h du matin chaque jour (comme moi).

[Zooey]

ben dis donc, tu finis de travailler tôt, c'est cool le Quebec

Oui, ça peut être cool à condition que tu te lèves à 5h du matin chaque jour (comme moi).

5 heure du mat'

c'est pas possible de se lever aussi tôt

[Virgxxx]

Avec moi, tout est possible.

Yes I can.