Forum Québec

On parle beaucoup de tolérance à la douleur. « Ah, moi je suis capable d'endurer des mauvais traitement et ça me fait même pas mal », et aussi le beaucoup plus commun « Hier, lui il a manqué le travail parce qu'il avait mal à la tête, mais moi, aujourd'hui, j'ai une MIGRAINE ». Autrement dit : « peut-être que lui il est resté debout, mais moi, si je me couche, c'est parce que mon corps me fait ressentir plus de douleur que le sien ne lui en fait ressentir à lui. »

Mais, si le corps de Bob lui fait ressentir la douleur plus intensément qu'à Jacques, n'est-ce pas que Bob devrait être plus habitué à ressentir des douleurs intenses, et donc, à douleur perçue égale, avoir plus de tolérance ?

Du coup, ma suggestion, c'est de bannir l'expression « Tolérance à la douleur » de notre langage, pour la remplacer par « Adaptation à la douleur ». C'est-à-dire que seuls les réponses comportementales aux stimuli importent, peu importe la perception.

Commentaires ?

Là je suis d'accord qu'on a pas tous le même seuil de tolérance à la douleur
le pourquoi? aucune idée
prenons exemple d'une grippe d'homme
on peut ici dire qu'un homme est beaucoup plus tolérant à la douleur physique mais une grippe d'homme est-elle plus grave qu'une grippe de femme
y a des gens qui ont l'habitude de vivre avec la douleur donc ils l'ont apprivoisé tandis que d'autres ne peuvent avoir le moindre petit bobo sans se plaindre
je pense personnellement que plus on vieilli plus on est sensible à la douleur, comme au froid , comme à la chaleur ,
en gros c'est mon opinion

Ceux qui sont les meilleurs avec la tolérance à la douleur, c'est les sado-masochistes

Sans blague, je me suis déjà dit lors d'un vaccin : ça va par faire mal, même qu'en fait ça va faire du bien cette piqure, puis la piqure ne m'a pas du tout fait mal et même un peu de bien assez bizarrement. C'est dans ces moments là que je comprends le trip des sado-masochistes, malgré que je n'irais pas jusque là. Donc la tolérance à la douleur, je crois que c'est surtout mental.

J'y avais pensé moi aussi quand Jack jack à dit qu'il était très tolérant à la douleur
genre sado-maso serait parfait pour lui


je le taquine bien sûre

Metazoaire a écrit :Ceux qui sont les meilleurs avec la tolérance à la douleur, c'est les sado-masochistes

C'est que tu as tout à fait raison.

La douleurs peux même amener un high.

J'étais tolérant à la douleur, et depuis dix ans beaucoup plus. Pendant deux ans j'ai du sur les plaies mettre un gel à base d'opiacés pour endormir les parties meurtries avant les soins.
Il n'y a qu'une douleur que je ne supporte pas, la ponction sternale,avec en plus cette impression que l'on m'enlève coeur, poumons, et foie....

À ceux qui se disent tolérant à la douleur, comment faites-vous pour savoir si, pour le même coup, les autres n'ont pas simplement plus mal que vous ?

Jack Jack a écrit :À ceux qui se disent tolérant à la douleur, comment faites-vous pour savoir si, pour le même coup, les autres n'ont pas simplement plus mal que vous ?

Euh... par l'expression sur leur visage ! Ou encore des terme comme '' Oulà ! Oulà '' ou encore : Ayoye maud***, ost*** de tabar****

En fait il est impossible de quantifié la douleur en soit puisque se que nous considerons generalement comme douloureux est plutot l'ecart entre les sensation habituel ressenti par notre corp versus un nouveau stimuli.

Si je recois un coup sur le tibia ma douleur au cou sera moindre

Ceux qui ont beaucoup souffert physiquement dans leur vie seront plus résistant à la douleur que d'autres qui ont peu souffert.

On s'y habitue. La douleur n'est pas moindre que pour les autres, et ce n'est pas plus agréable, mais on a appris à la supporter.

lam129 a écrit :Ceux qui ont beaucoup souffert physiquement dans leur vie seront plus résistant à la douleur que d'autres qui ont peu souffert.

On s'y habitue. La douleur n'est pas moindre que pour les autres, et ce n'est pas plus agréable, mais on a appris à la supporter.

Il est aussi possible de pousser notre seuil de douleur jusqu'à pouvoir en ressentir les effets "hallucinogènes" sécrétés par notre cerveau. On peut même se retrouver en transe .
Fun, mais un peu surprenant la première fois que ça se produit.

Je te crois, les amérindiens avaient des rites de ce genre.

Mais je préfère la marijuana. C'est moins violent.

Raydyryz a écrit :

Jack Jack a écrit :À ceux qui se disent tolérant à la douleur, comment faites-vous pour savoir si, pour le même coup, les autres n'ont pas simplement plus mal que vous ?

Euh... par l'expression sur leur visage ! Ou encore des terme comme '' Oulà ! Oulà '' ou encore : Ayoye maud***, ost*** de tabar****

En fait il est impossible de quantifié la douleur en soit puisque se que nous considerons generalement comme douloureux est plutot l'ecart entre les sensation habituel ressenti par notre corp versus un nouveau stimuli.

Mauvaise réponse, il ne s'agit que d'une observation indirecte du phénomène de la douleur, tout comme la dilatation du mercure dans un thermomètre est une observation indirecte du phénomène de la chaleur.

La douleur est un quale, une perception. C'est un processus mental. Or, on n'a pas accès directement aux contenus mentaux des autres, à un point tel qu'on ne peut être certains qu'ils existent seulement.

lam129 a écrit :Ceux qui ont beaucoup souffert physiquement dans leur vie seront plus résistant à la douleur que d'autres qui ont peu souffert.

On s'y habitue. La douleur n'est pas moindre que pour les autres, et ce n'est pas plus agréable, mais on a appris à la supporter.

Je le pense aussi, mais comment on fait pour faire la différence entre ceux qui ont beaucoup souffert et les autres ? Ah, et laisse faire le « physiquement », la douleur est en elle même quelque chose de non physique.

Si on doit rentrer dans la technique la douleur est un processus, ce que l'ont concoit comme de la douleur est en fait un signal généré par le corp et transporté par le systeme nerveux via la colonne vertebral jusqu'au cerveau ou elle est " freiner " pour etre mieux interpreté par notre matiere grise.

Ce qui est considérer comme le Freinage, c'est quand une partie de notre cerveau effecturais un filtrage de ces message, eliminant les donné inutile pour en assainir l'interpretation. Le concept de résistance pourrais se retrouver a se niveau. Mais il peut y avoir aussi un influence sur la résistance au niveau de la colonne vertébrale qui dans certain cas interprete mal les message ou encore les modifie en cours de route, ainsi des personne peuvent vivre réellement des douleur atroce sans pourtant avoir de raison physique de les subir, ce qui est classé généralement comme psychosomatique.

Outre le physique, il y as aussi le psychologique qui influencera la perception de la douleur ainsi quelqu'un qui conçoit la douleur comme un système d'alarme chargé de la protection du corp vivra mieux celle-ci que si il la considerent comme une pénalité. Selon les recherche, même un parfum pourrais en influencer la perception. Malheureusement on en sait encore trop peu en ce domaine.

Raydyryz a écrit :Si on doit rentrer dans la technique la douleur est un processus, ce que l'ont concoit comme de la douleur est en fait un signal généré par le corp et transporté par le systeme nerveux via la colonne vertebral jusqu'au cerveau ou elle est " freiner " pour etre mieux interpreté par notre matiere grise.

Ce qui est considérer comme le Freinage, c'est quand une partie de notre cerveau effecturais un filtrage de ces message, eliminant les donné inutile pour en assainir l'interpretation. Le concept de résistance pourrais se retrouver a se niveau. Mais il peut y avoir aussi un influence sur la résistance au niveau de la colonne vertébrale qui dans certain cas interprete mal les message ou encore les modifie en cours de route, ainsi des personne peuvent vivre réellement des douleur atroce sans pourtant avoir de raison physique de les subir, ce qui est classé généralement comme psychosomatique.

Outre le physique, il y as aussi le psychologique qui influencera la perception de la douleur ainsi quelqu'un qui conçoit la douleur comme un système d'alarme chargé de la protection du corp vivra mieux celle-ci que si il la considerent comme une pénalité. Selon les recherche, même un parfum pourrais en influencer la perception. Malheureusement on en sait encore trop peu en ce domaine.

Tu parles encore de phénomènes corrélés à celui de la douleur, mais pas de la douleur elle-même.

La douleur est un quale. La douleur, c'est « ce que ça fait » d'avoir mal. On ne peut concevoir la douleur autrement que par l'observation directe, on ne peut pas la communiquer. Si tu n'avais jamais eu mal, je pourrais t'expliquer le processus neurologique de long en large, mais je ne pourrais jamais te communiquer l'idée de la douleur. Si ça ne t'est jamais arrivé, tu ne peux pas savoir ce que ça fait d'avoir mal.