Québec: discrimination à l'école publique
Publié : mar. oct. 11, 2011 9:14 am
Ce matin, à la radio, j'ai entendu une nouvelle histoire d'accommodement raisonnable qui s'apparente davantage à une discrimination répugnante et dégoulinante de bassesse:
Une étudiante en pâtisserie de Québec, 17 ans, est allergique aux framboises. Cette allergie est tellement sévère qu'elle pourrait en mourir. Avant de s'inscrire, elle en discute avec l'école et tout semble correct. Cependant, dès les premiers cours, la framboise est omniprésente, mais comme les budgets ne permettent pas de les remplacer par un autre ingrédient selon la direction de l'école, l'étudiante préfère redoubler de prudence plutôt que de se plaindre. Un jour, il faut réaliser une quiche au jambon... et là, comme par magie, l'étudiante musulmane voit son porc remplacé par du poulet. La Québécoise va évidemment voir la direction, et se fait répondre qu'elle ferait mieux d'abandonner le cours, de toute façon elle ne trouvera pas de stage, etc.
Moralité de l'histoire: on accommode les croyances des minorités, mais pas les dangers de vie ou de mort des Québécois.
Notre société est vraiment malade... Qu'on accommode tout le monde ou personne ! Tout le monde logé à même enseigne, quelle qu'elle soit !
Remarquez, ici, ce sont les carpettes de Québécois qui ont peur de paraître racistes qui sont coupables, pas les étudiantes concernées. On a tellement peur de se faire poursuivre pour racisme qu'on préfère brimer et discriminer son peuple plutôt que les d'être juste et équitable...
Une étudiante en pâtisserie de Québec, 17 ans, est allergique aux framboises. Cette allergie est tellement sévère qu'elle pourrait en mourir. Avant de s'inscrire, elle en discute avec l'école et tout semble correct. Cependant, dès les premiers cours, la framboise est omniprésente, mais comme les budgets ne permettent pas de les remplacer par un autre ingrédient selon la direction de l'école, l'étudiante préfère redoubler de prudence plutôt que de se plaindre. Un jour, il faut réaliser une quiche au jambon... et là, comme par magie, l'étudiante musulmane voit son porc remplacé par du poulet. La Québécoise va évidemment voir la direction, et se fait répondre qu'elle ferait mieux d'abandonner le cours, de toute façon elle ne trouvera pas de stage, etc.
Moralité de l'histoire: on accommode les croyances des minorités, mais pas les dangers de vie ou de mort des Québécois.
Notre société est vraiment malade... Qu'on accommode tout le monde ou personne ! Tout le monde logé à même enseigne, quelle qu'elle soit !
Remarquez, ici, ce sont les carpettes de Québécois qui ont peur de paraître racistes qui sont coupables, pas les étudiantes concernées. On a tellement peur de se faire poursuivre pour racisme qu'on préfère brimer et discriminer son peuple plutôt que les d'être juste et équitable...