poème sans titre - aidez-moi!
Publié : ven. déc. 23, 2011 9:25 am
Bonjour à vous mes amis!
Je suis actuellement en train de terminer un autre poème, mais je n'ai vraiment aucune idée du titre que je pourrais lui donner.
En voici un aperçu, ce n'est pas ma version définitive, il est encore à travailler.
Écrit dans un livre doré,
Nos roses pages faisaient rêver.
De Shakespeare se sont signalées;
Aucune fiction ne les a foulées
Passé composé de beauté
Guidait ma main fort inspirée.
D'une écriture plus que soignée
Je conjuguais être et aimer
Adjectifs qualificatifs
Comblaient chaque passage descriptif.
De ta passion j'étais captif
De ton éclat, admiratif.
Sur un parchemin peaufiné,
Blanc comme la neige immaculée,
Je rédigeais notre roman,
Humant sa douce odeur d’encens
Et puis les pages ont vite changé
Après deux ans se sont froissées,
brisées, tachées, même déchirées
Jusqu'à en être toutes fanées.
Impossible d'y employer
Tout autre verbe que l'imparfait.
Être et aimer, j'ai essayé,
mais chaque fois, ils s'effaçaient.
Un amour pur, infinitif,
j'imaginais, bien trop naïf.
Je le croyais définitif;
S’est avéré trop abrasif
Passé si simple, plus que parfait,
Duquel j'étais le seul sujet,
Je te relis avec regret;
Loin de moi tu es désormais.
La nature meurt et puis revit
De la subir je suis soumis,
de l’accepter, je ne peux tâcher :
Mon cœur n’a pas cessé de saigner.
En cet hiver froid et amer
Je rêve à mon été d’hier
Celui où j’ai trop espérer
Qu’il dure pour une éternité.
Je suis actuellement en train de terminer un autre poème, mais je n'ai vraiment aucune idée du titre que je pourrais lui donner.
En voici un aperçu, ce n'est pas ma version définitive, il est encore à travailler.
Écrit dans un livre doré,
Nos roses pages faisaient rêver.
De Shakespeare se sont signalées;
Aucune fiction ne les a foulées
Passé composé de beauté
Guidait ma main fort inspirée.
D'une écriture plus que soignée
Je conjuguais être et aimer
Adjectifs qualificatifs
Comblaient chaque passage descriptif.
De ta passion j'étais captif
De ton éclat, admiratif.
Sur un parchemin peaufiné,
Blanc comme la neige immaculée,
Je rédigeais notre roman,
Humant sa douce odeur d’encens
Et puis les pages ont vite changé
Après deux ans se sont froissées,
brisées, tachées, même déchirées
Jusqu'à en être toutes fanées.
Impossible d'y employer
Tout autre verbe que l'imparfait.
Être et aimer, j'ai essayé,
mais chaque fois, ils s'effaçaient.
Un amour pur, infinitif,
j'imaginais, bien trop naïf.
Je le croyais définitif;
S’est avéré trop abrasif
Passé si simple, plus que parfait,
Duquel j'étais le seul sujet,
Je te relis avec regret;
Loin de moi tu es désormais.
La nature meurt et puis revit
De la subir je suis soumis,
de l’accepter, je ne peux tâcher :
Mon cœur n’a pas cessé de saigner.
En cet hiver froid et amer
Je rêve à mon été d’hier
Celui où j’ai trop espérer
Qu’il dure pour une éternité.