Le procès Shafia a rendu son verdict, mais on sait très bien que le problème continuera de s'empirer avec l'arrivée irraisonnée de gens issus de cultures rétrogrades haïssant notre civilisation sur nos territoires.
Quelques chiffres intéressants, issu du Irish Independant, à la suite, justement, du procès Shafia qui a très largement débordé de nos frontières.
(traduction française de Poste de Veille)
Version originale en anglais: The Irish Independant
Version française: Poste de Veille
Les crimes d'honneur
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Re: Les crimes d'honneur
On en a marre de parler de ça, et je vous comprends. Malheureusement, cela ne s'arrêtera pas avec la fin de l'Affaire Shafia.
Une excellente question de Djemila à Madame Weil, le ministre de l'Immigration du Québec :
Une excellente question de Djemila à Madame Weil, le ministre de l'Immigration du Québec :
J'ai espéré quelques mots de vous, Madame Weil...
(...)
Retournons à cet Afghan, Mohamed Shafia, qui quitte Dubaï pour le Canada, en 2007, avec femmes et enfants traînant avec lui un énorme baluchon de sous. L’homme d’affaires réussit une à une chacune des entrevues de sélection et franchit avec succès toutes les étapes du processus d’immigration des gouvernements du Québec et du Canada. Deux ans plus tard, ses affaires vont tellement bien qu’il se construit une baraque de près d’un million. Mais le voilà qui dérape et commet l’irréparable. Il simule ave sa femme et son fils un accident de voiture impliquant trois de ses filles et sa première épouse. Eh bien…il est temps de le dire, il y a peut-être une chose ou deux qui n’a pas dû fonctionner correctement dans son processus d’intégration. C’est alors que j’ai espéré quelques mots de votre part, Mme Weil. Non pas que je sois devenue soudainement friande de vos paroles que je trouve assez banales la plupart du temps, pour ne pas dire quelque peu insignifiantes, mais vous comprendrez qu’en pareilles circonstances j’étais prête à refouler mon aversion. Car il y a dans l’histoire d’une nation des moments suffisamment graves qui exigent le dépassement de soi. Puis je voulais savoir. Comment un polygame pouvait-il vivre en toute quiétude quelque part à Montréal? Comment se fait-il qu’un immigrant nouvellement arrivé était absent la moitié de l’année et aspirait du même souffle pouvoir s’intégrer à notre société, en comprendre ses mécanismes et en saisir les nuances? Que dire de son incapacité à s’exprimer dans notre langue commune, le français? Est-ce un cas un isolé? Combien sont-ils dans la même situation? Je vous rassure tout de suite, je ne suis pas la seule à attendre des réponses. En effet, nous sommes nombreux à vouloir des explications.
Lien: Le Blogue de Djemila Benhabib
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