Dents d'acier a écrit :Je suis un "marcheur" (pour faire la différence avec beaucoup d'amateurs de plein air qui utilisent des vtt), je ne fait donc pas beaucoup de bruit et rencontre de temps en temps des ours.
Meme si c'est parfois dans le cadre de la chasse et que je sois armé d'un gros calibre je n'ai jamais ressenti le besoins d'en flinguer un, ceci étant dit y'a toujours une ou deux personnes par année qui sont tué par un ours au Québec (des marcheurs comme moi). Je reste donc prudent et n'écarte pas cette éventualité du revers de la main juste parce que ceux que j'ai rencontré étaient plutôt "timide".
C'est au moment de choisir votre couteaux à lame fixe que la "game" se joue en fait parce que faut l'avouer, la majorité des gens tué par un ours ayant été attaqué par surprise, une carabine ne vous est pas plus utile dans cette situation particulière qu'un deuxieme anus greffé sur votre coude.
Mon choix se porte donc sur un poignard conséquent avec une lame robuste de 7 po aiguisé comme un rasoir. Sous un ours qui tente de vous bouffer vivant ça peut avoir son utilité.
Mes préféré
- Le premier à 10 po, il à le défaut d’être très lourd pour la marche.
- Le deuxieme à 7 po, c'est mon préféré. L'angle de sa pointe permet de trancher l'os aussi bien que la chair dans le cas d'un coup d'estoc, sa lame évidé en forme de rasoir coupe choux tranche par simple contact. Ses défauts: son prix et le fait que seule une main experte peu l'utiliser sans s'infliger des blessures... je crois l'avoir déjà dit; il tranche par simple contact, ça ne pardonne pas les erreurs de manipulation.
- Le troisieme, une trouvaille pas cher dans un dépanneur. La forme de sa lame permet de trancher dans l'angle des coudes, poignets, genoux, cou, l'aine ou sous la machoire -la ou passent les artères, comme si vous coupiez du beurre. La poignée est "ergonomique" pour etre capable de mettre toute la pression qu'il faut sur le tranchant au moment ou vous tranchez d'un coup sec.
PS-
Pour la bande audio un légiste aurait affirmé qu'on entendait le mec hurler de douleur pendant que le grizzly lui arrachait la viande et les visceres qu'on entendait très bien se déchirer (ça fait un bruit particulier facilement reconnaissable). Sans le savoir la fille en panique s'est mise à braillé comme un petit animal blessé pendant un certain temps (uUuuuUu, uuuUuuu, uuuUu....) ce qui avait incité le grizzly à s'attaquer à elle et a la démembrer vivante même s'il n'avait plus faim.... pour le jeux.
